La grande mosquée de Scat Urban un quartier en plein cœur de Dakar, est envahie par les eaux usées. Les travaux d’assainissement et de réhabilitation pointés du doigt par les résidents du quartier.
« Nous, résidants de cité Scat Urban, Amon, Keur Khadim, Fouzourol, TP, Administration générale Préfecture et Chambre de Commerce, nous avons considéré que le débordement des eaux usées qui vient d’affecter gravement notre lieu de culte, et les maisons avoisinantes est la conséquence directe de l’inachèvement des travaux d’assainissement et de réhabilitation des routes. Nous avons également constaté avec acrimonie l’état de dégradation de nos rues devenu nauséabonde, source de toute pathologie pour les populations et particulièrement en cette période d’examen », a dénoncé Idrissa Maréna leur porte-parole.
Poursuivant ses propos, il dénonce à cet effet le mutisme des autorités étatiques. « Nous avons voulu crier notre ras-le-bol et dénoncer avec force le mutisme coupable et inexpliqué de l’Office National de l'Assainissement du Sénégal (ONAS), face aux insuffisances notoires de la Compagnie Sénégalaise de Travaux Publics (CSTP) qui pendant plus de deux ans est dans l’incapacité manifeste de mener à terme les travaux d’assainissement et de surcroît dégrade le réseau routier du quartier, l’accompagnement de l’AGEROUTE dans les travaux de raccordement du réseau et de traverser de la voix principale gérée par elle », dit-il.
M. Maréna au micro de Walf radio ajoute : « Enfin, nous osons espérer compter sur la diligence des autorités municipales face aux désagréments causés par les transports en commun causés sur l’axe routier GY157 logeant le CEM. Il en est de même pour le retard constaté dans le programme de rénovation de la voirie urbaine engagée par la ville de Dakar ».
« Nous, résidants de cité Scat Urban, Amon, Keur Khadim, Fouzourol, TP, Administration générale Préfecture et Chambre de Commerce, nous avons considéré que le débordement des eaux usées qui vient d’affecter gravement notre lieu de culte, et les maisons avoisinantes est la conséquence directe de l’inachèvement des travaux d’assainissement et de réhabilitation des routes. Nous avons également constaté avec acrimonie l’état de dégradation de nos rues devenu nauséabonde, source de toute pathologie pour les populations et particulièrement en cette période d’examen », a dénoncé Idrissa Maréna leur porte-parole.
Poursuivant ses propos, il dénonce à cet effet le mutisme des autorités étatiques. « Nous avons voulu crier notre ras-le-bol et dénoncer avec force le mutisme coupable et inexpliqué de l’Office National de l'Assainissement du Sénégal (ONAS), face aux insuffisances notoires de la Compagnie Sénégalaise de Travaux Publics (CSTP) qui pendant plus de deux ans est dans l’incapacité manifeste de mener à terme les travaux d’assainissement et de surcroît dégrade le réseau routier du quartier, l’accompagnement de l’AGEROUTE dans les travaux de raccordement du réseau et de traverser de la voix principale gérée par elle », dit-il.
M. Maréna au micro de Walf radio ajoute : « Enfin, nous osons espérer compter sur la diligence des autorités municipales face aux désagréments causés par les transports en commun causés sur l’axe routier GY157 logeant le CEM. Il en est de même pour le retard constaté dans le programme de rénovation de la voirie urbaine engagée par la ville de Dakar ».
Autres articles
-
Fatou Diome lauréate du Prix 2024 de la Coalition française pour la diversité culturelle
-
Grève des internes des hôpitaux : l’AIAIHS exige des réformes sur les conditions de travail et l’insertion professionnelle
-
Vente des actes d'état civil de Sénégalais à des étrangers : Balla Moussa Fofana dément Tahirou Sarr
-
Menace de diffusion de vidéos intimes : d'ex copain à maître chanteur, Mohamed Seck condamné à 2 mois de prison ferme
-
Mbour : plus de 12 000 cartes d’électeur non encore retirées (préfet)