Comme annoncé depuis hier samedi, le Premier ministre Ousmane Sonko s’est rendu ce dimanche au marché de Colobane pour constater les effets des vagues de déguerpissement entrepris un peu partout dans la capitale sénégalaise. Une initiative qui fait suite à la décision des autorités municipales de fermer temporairement le marché du samedi 29 juin à 00h au lundi 1er juillet 2024 à 23h59 mn, pour une opération de nettoiement et désencombrement de la voie publique.
Sur les lieux, après constat, Ousmane Sonko, a invité les maires et les autorités compétentes en charge de ces endroits de mettre en avant la communication et le dialogue avec les marchands ambulants et de bannir la méthode « forte ». Le PM a indiqué que sans des mesures d’accompagnement, les commerçants sont « condamnés à devenir des agresseurs ».
Sonko, qui souligne des échecs du régime antérieur sur la politique publique a exhorté les maires à plus d’humanisme. « Après tout, ce sont les conséquences des échecs des politiques publiques antérieures qui ont créé tous ces problèmes. De l’agriculture à l’élevage, en passant aux financements, si le moindre sous était mis là où il devait être, les commerçants ne seraient pas là aujourd’hui. Bien qu’il s’agît d’une compétence de la mairie, nous invitons les maires à plus d’humanisme, à favoriser la communication. Mais surtout, à s’asseoir avec les commerçants pour trouver des solutions de remplacement », indique Ousmane Sonko.
Aux populations riverains, Ousmane Sonko, a demandé de faire preuve de compréhension, en attendant que l’Etat trouve des solutions. «L’État proposera des mesures d’accompagnement. Toutefois, nous invitons les commerçants à accepter ces mesures. Tout le monde ne peut pas être à Sandaga. Mais nous essayerons de libérer certains espaces à leur faveur. En attendant, nous demandons aux populations de faire preuve de compréhension. On peut négocier avec les trottoirs, mais pas avec la route. Seule la compréhension mutuelle peut nous permettre de régler ce problème», demande le Premier ministre.
« Le président de la République invite les mairies, à assouplir les opérations de déguerpissement et de libération de la voie publique, en privilégiant la communication et le dialogue avec les marchands ambulants », a révélé Sonko.
Sur les lieux, après constat, Ousmane Sonko, a invité les maires et les autorités compétentes en charge de ces endroits de mettre en avant la communication et le dialogue avec les marchands ambulants et de bannir la méthode « forte ». Le PM a indiqué que sans des mesures d’accompagnement, les commerçants sont « condamnés à devenir des agresseurs ».
Sonko, qui souligne des échecs du régime antérieur sur la politique publique a exhorté les maires à plus d’humanisme. « Après tout, ce sont les conséquences des échecs des politiques publiques antérieures qui ont créé tous ces problèmes. De l’agriculture à l’élevage, en passant aux financements, si le moindre sous était mis là où il devait être, les commerçants ne seraient pas là aujourd’hui. Bien qu’il s’agît d’une compétence de la mairie, nous invitons les maires à plus d’humanisme, à favoriser la communication. Mais surtout, à s’asseoir avec les commerçants pour trouver des solutions de remplacement », indique Ousmane Sonko.
Aux populations riverains, Ousmane Sonko, a demandé de faire preuve de compréhension, en attendant que l’Etat trouve des solutions. «L’État proposera des mesures d’accompagnement. Toutefois, nous invitons les commerçants à accepter ces mesures. Tout le monde ne peut pas être à Sandaga. Mais nous essayerons de libérer certains espaces à leur faveur. En attendant, nous demandons aux populations de faire preuve de compréhension. On peut négocier avec les trottoirs, mais pas avec la route. Seule la compréhension mutuelle peut nous permettre de régler ce problème», demande le Premier ministre.
« Le président de la République invite les mairies, à assouplir les opérations de déguerpissement et de libération de la voie publique, en privilégiant la communication et le dialogue avec les marchands ambulants », a révélé Sonko.
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