C'est sans doute la situation que craignait la Cour. En effet, non-satisfait du rejet de la demande de liberté provisoire, formulée par la défense de Karim Wade, ses partisans ont boudé la salle d'audience.
Par cet acte, les partisans du fils de l'ancien chef de l'Etat ont montré leur désapprobation de la décision de la Cour en se levant pour se donner rendez-vous hors de la salle.
C'est peut-être, des actes du genre qui ont coûté à Karim Wade sa liberté provisoire, quand on sait que la cour a évoqué dans les motifs la possibilité d'amplifier les conséquences de cette euphorie qui amine les sympathisants de Karim Wade. Selon les motifs de la Cour, cela conduit souvent à des perturbations d'audiences qui débouchent parfois sur des expulsions de la salle.
Par cet acte, les partisans du fils de l'ancien chef de l'Etat ont montré leur désapprobation de la décision de la Cour en se levant pour se donner rendez-vous hors de la salle.
C'est peut-être, des actes du genre qui ont coûté à Karim Wade sa liberté provisoire, quand on sait que la cour a évoqué dans les motifs la possibilité d'amplifier les conséquences de cette euphorie qui amine les sympathisants de Karim Wade. Selon les motifs de la Cour, cela conduit souvent à des perturbations d'audiences qui débouchent parfois sur des expulsions de la salle.
Autres articles
-
Législatives du 17 novembre : le chef du bureau UNOWAS appelle à des élections pacifiques
-
Législatives du 17 novembre : Jean Baptiste Tine rassure sur le bon déroulement du scrutin
-
#Législatives 2024 : Farba Ngom réplique aux accusations d’Ousmane Sonko
-
DIC : Cheikh Gadiaga autorisé à rentrer chez lui
-
Nouvelle renégociation à l’ASER : le grand coup de Jean-Michel Sene