Le classement Doing business 2018 a vu le Sénégal intégrer le Top 5 des pays africains les plus réformateurs, grâce à une série de réformes comme la baisse du coup de la création d'entreprise, à la réduction des mutations d'immeubles au profit des Pme, avec une diminution des émoluments des notaires, entre autres.
Mais le gouvernement du Sénégal ne veut pas se limiter à être dans les 5 premiers pays africains dans ce classement qui qui mesure chaque an la facilité, dans les différents pays de la planète, de faire des affaires pour les Petites et moyennes entreprises (Pme). Un conseil interministériel a été tenu ce jeudi pour voir les voies et moyens de mettre en oeuvre une deuxième série de réformes, dans le but d'avoir un meilleur classement dans le rapport 2019.
Le porte-parole du gouvernement Seydou Gueye annonce 9 nouvelles réformes pour consolider celles déjà accomplies dans le cycle antérieur. "Pour l'essentiel de cette deuxième catégorie de réformes, elles portent notamment sur des modalités de partage de l'information, en mettant en oeuvre de façon effective dans les sites web, des administrations concernées par ce type d'information. Il s'agit de la consultation en ligne, la recherche documentaire en matière de création d'entreprise", a-t-il dit.
L'objectif du Sénégal est d'intégrer cette année le Top 100 des pays les plus réformateurs dans le classement Doing Business. Pour rappel, le Sénégal est classé 140e dans le dernier rapport publié.
Mais le gouvernement du Sénégal ne veut pas se limiter à être dans les 5 premiers pays africains dans ce classement qui qui mesure chaque an la facilité, dans les différents pays de la planète, de faire des affaires pour les Petites et moyennes entreprises (Pme). Un conseil interministériel a été tenu ce jeudi pour voir les voies et moyens de mettre en oeuvre une deuxième série de réformes, dans le but d'avoir un meilleur classement dans le rapport 2019.
Le porte-parole du gouvernement Seydou Gueye annonce 9 nouvelles réformes pour consolider celles déjà accomplies dans le cycle antérieur. "Pour l'essentiel de cette deuxième catégorie de réformes, elles portent notamment sur des modalités de partage de l'information, en mettant en oeuvre de façon effective dans les sites web, des administrations concernées par ce type d'information. Il s'agit de la consultation en ligne, la recherche documentaire en matière de création d'entreprise", a-t-il dit.
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