Le Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire (Saems) déplore le non-respect des engagements pris par l'Etat. Selon ses membres, les réformes promises peinent à se concrétiser m'étant en mal le secteur de l'éducation. Les syndicalistes appellent les autorités à accorder plus de considération à l'éducation.
« Depuis la survenue de cette troisième alternance, il y avait des références très importantes sur lesquelles le régime était attendu. Aujourd'hui, nous devons tirer le bilan et au départ reconnaître que les grandes réformes qui étaient attendues dans le secteur de l'éducation, n'ont pas encore vu le jour. Il s'agit naturellement de la réforme portant sur ce qu'on appelle les programmes scolaires qui devaient être changés, de la réforme relative à l'introduction des langues nationales, et de la réforme qui devrait porter naturellement sur la résorption des abris provisoires et la résorption desdits enseignants », a déclaré El Hadji Malick Youm, secrétaire général du Saems.
Par ailleurs, il a invité le régime à honorer ses engagements signés avec le syndicat et à faire des efforts surtout dans le contexte actuel.
« Nous demandons au régime actuel de faire davantage d'efforts par rapport à ce qui se passe dans le secteur de l'éducation. Et sur ce plan-là, déjà, nous avons pris acte des engagements qui ont été annoncés par le Premier ministre sur le programme de recrutement d'enseignants. Et jusqu'au moment où je vous parle, nous sommes restés sur notre fin. Parce que nous pensons que le recrutement aurait dû être beaucoup plus transparent et aurait pu être relevé par rapport aux quotas pour répondre véritablement à ce déficit qui est un facteur bloquant par rapport à la qualité de l'éducation au Sénégal. Nous avons procédé à l'analyse, un peu de la mise en œuvre des accords pour ce plan-là aussi, nous appelons le gouvernement à beaucoup plus de respect par rapport au secteur de l'éducation et de la formation », tonne M. Youm.
L’enseignant s'exprimait au micro d'iRadio lors des travaux des commissions administratives nationale pour faire le bilan d'un an de la troisième alternance dans le secteur de l'éducation et de la formation.
« Depuis la survenue de cette troisième alternance, il y avait des références très importantes sur lesquelles le régime était attendu. Aujourd'hui, nous devons tirer le bilan et au départ reconnaître que les grandes réformes qui étaient attendues dans le secteur de l'éducation, n'ont pas encore vu le jour. Il s'agit naturellement de la réforme portant sur ce qu'on appelle les programmes scolaires qui devaient être changés, de la réforme relative à l'introduction des langues nationales, et de la réforme qui devrait porter naturellement sur la résorption des abris provisoires et la résorption desdits enseignants », a déclaré El Hadji Malick Youm, secrétaire général du Saems.
Par ailleurs, il a invité le régime à honorer ses engagements signés avec le syndicat et à faire des efforts surtout dans le contexte actuel.
« Nous demandons au régime actuel de faire davantage d'efforts par rapport à ce qui se passe dans le secteur de l'éducation. Et sur ce plan-là, déjà, nous avons pris acte des engagements qui ont été annoncés par le Premier ministre sur le programme de recrutement d'enseignants. Et jusqu'au moment où je vous parle, nous sommes restés sur notre fin. Parce que nous pensons que le recrutement aurait dû être beaucoup plus transparent et aurait pu être relevé par rapport aux quotas pour répondre véritablement à ce déficit qui est un facteur bloquant par rapport à la qualité de l'éducation au Sénégal. Nous avons procédé à l'analyse, un peu de la mise en œuvre des accords pour ce plan-là aussi, nous appelons le gouvernement à beaucoup plus de respect par rapport au secteur de l'éducation et de la formation », tonne M. Youm.
L’enseignant s'exprimait au micro d'iRadio lors des travaux des commissions administratives nationale pour faire le bilan d'un an de la troisième alternance dans le secteur de l'éducation et de la formation.
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