Le chef de l’opposition Cellou Dalein Diallo, entouré d'opposants, le 25 avril 2013, à Conakry. AFP PHOTO / CELLOU BINANI
Plusieurs points inscrits à l'ordre du jour de cette journée de réouverture du dialogue politique inter-Guinéens. L'enrôlement des électeurs dans les fiefs de l'opposition, qui s'était abstenue à l'invitation de leur leader, a fait partie des priorités. L'affichage des listes électorales et l'aménagement des bureaux de vote ont également été abordés.
Tout cela dans une ambiance que l'on peut qualifier de très détendue. Cellou Dalein Diallo, Jean-Marie Doré et Aboubakar Sylla d'un côté, Fodé Bangoura et Saloum Cissé de l'autre, sous l'œil jusque-là vigilant du président de séance et ministre des Affaires étrangères François Lonsény Fall.
Ce dernier distribue les temps de parole, consultant au passage le facilitateur mandaté par les Nations unies, Saïd Djinnit, qui n'hésite pas à donner son avis sur tel ou tel sujet lorsque les protagonistes guinéens ne trouvent pas de terrain d'entente.
S'agissant du recencement ou de la révision dans les fiefs de l'opposition, la Céni a prévu sept jours, ce que contestent Jean-Marie Doré et Cellou Dalein Diallo qui exigent 21 jours. Quand à l'affichage, la loi électorale prévoit quinze jours lorsque la Céni n'en envisage que sept à neuf.
Le point d'achaufement entre les deux bords politiques pourrait venir de l'avenir de l'opérateur sud-africain Waymark, chargé d'établir le fichier électoral.
Source: RFI
Tout cela dans une ambiance que l'on peut qualifier de très détendue. Cellou Dalein Diallo, Jean-Marie Doré et Aboubakar Sylla d'un côté, Fodé Bangoura et Saloum Cissé de l'autre, sous l'œil jusque-là vigilant du président de séance et ministre des Affaires étrangères François Lonsény Fall.
Ce dernier distribue les temps de parole, consultant au passage le facilitateur mandaté par les Nations unies, Saïd Djinnit, qui n'hésite pas à donner son avis sur tel ou tel sujet lorsque les protagonistes guinéens ne trouvent pas de terrain d'entente.
S'agissant du recencement ou de la révision dans les fiefs de l'opposition, la Céni a prévu sept jours, ce que contestent Jean-Marie Doré et Cellou Dalein Diallo qui exigent 21 jours. Quand à l'affichage, la loi électorale prévoit quinze jours lorsque la Céni n'en envisage que sept à neuf.
Le point d'achaufement entre les deux bords politiques pourrait venir de l'avenir de l'opérateur sud-africain Waymark, chargé d'établir le fichier électoral.
Source: RFI
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