Le séisme s'est produit à 16 kilomètres au nord-ouest de la ville de Sagaing, vers 14h20, heure locale (06h20 GMT), a précisé l'USGS. Dans la capitale birmane, à Naypyidaw, les routes ont été déformées sous l'effet des secousses et des morceaux de plafond sont tombés des immeubles, ont constaté des journalistes de l'AFP. Des morceaux de plafond sont également tombés des immeubles. Le bilan humain n'était pas connu dans l'immédiat.
De fortes secousses ont été ressenties en Thaïlande voisine, causant des scènes de panique à Bangkok où des bureaux et des magasins ont été évacués. « J'ai entendu le bruit alors que je dormais chez moi, j'ai couru aussi loin que possible en pyjama hors du bâtiment », a déclaré à l'AFP Duangjai, une habitante de la deuxième ville du pays, Chiang Mai, destination prisée des touristes et réputées pour ses temples. Les secousses ont également été ressenties dans le nord et le centre de la Thaïlande.
À Bangkok, certains services de métro ont été suspendus. Un immeuble de 30 étages en construction s'est effondré, a déclaré un responsable de la police à l'AFP. Des recherches ont débuté pour retrouver 43 ouvriers bloqués sur le site, selon les urgentistes. La Première ministre thaïlandaise Paetongtarn Shinawatra a immédiatement annoncé la convocation d'une « réunion d'urgence ».
D'autres secousses ont par ailleurs été ressenties dans la province chinoise du Yunnan (sud-ouest), selon l'agence chinoise chargée des séismes, qui a enregistré une secousse de magnitude 7,9.
Les séismes sont relativement fréquents en Birmanie, où six tremblements de terre ayant atteint ou dépassé une magnitude de 7 se sont produits entre 1930 et 1956 près de la Faille de Sagaing, qui traverse le centre du pays du nord au sud. En 2016, un séisme de magnitude 6,8 avait secoué l'ancienne capitale, Bagan, dans le centre du pays, tuant trois personnes et provoquant l'effondrement des murs des temples de cette destination touristique. En novembre 2012, un séisme également de magnitude 6,8 avait frappé le centre du pays, faisant 26 morts et des centaines de blessés.
La faiblesse des infrastructures, l'insuffisance de services de santé, notamment dans les zones rurales, le développement anarchique des zones urbanisées, ont rendu la population des régions habitées particulièrement vulnérable en cas de catastrophe naturelle, selon les experts.
De fortes secousses ont été ressenties en Thaïlande voisine, causant des scènes de panique à Bangkok où des bureaux et des magasins ont été évacués. « J'ai entendu le bruit alors que je dormais chez moi, j'ai couru aussi loin que possible en pyjama hors du bâtiment », a déclaré à l'AFP Duangjai, une habitante de la deuxième ville du pays, Chiang Mai, destination prisée des touristes et réputées pour ses temples. Les secousses ont également été ressenties dans le nord et le centre de la Thaïlande.
À Bangkok, certains services de métro ont été suspendus. Un immeuble de 30 étages en construction s'est effondré, a déclaré un responsable de la police à l'AFP. Des recherches ont débuté pour retrouver 43 ouvriers bloqués sur le site, selon les urgentistes. La Première ministre thaïlandaise Paetongtarn Shinawatra a immédiatement annoncé la convocation d'une « réunion d'urgence ».
Des séismes relativement fréquents en Birmanie
D'autres secousses ont par ailleurs été ressenties dans la province chinoise du Yunnan (sud-ouest), selon l'agence chinoise chargée des séismes, qui a enregistré une secousse de magnitude 7,9.
Les séismes sont relativement fréquents en Birmanie, où six tremblements de terre ayant atteint ou dépassé une magnitude de 7 se sont produits entre 1930 et 1956 près de la Faille de Sagaing, qui traverse le centre du pays du nord au sud. En 2016, un séisme de magnitude 6,8 avait secoué l'ancienne capitale, Bagan, dans le centre du pays, tuant trois personnes et provoquant l'effondrement des murs des temples de cette destination touristique. En novembre 2012, un séisme également de magnitude 6,8 avait frappé le centre du pays, faisant 26 morts et des centaines de blessés.
La faiblesse des infrastructures, l'insuffisance de services de santé, notamment dans les zones rurales, le développement anarchique des zones urbanisées, ont rendu la population des régions habitées particulièrement vulnérable en cas de catastrophe naturelle, selon les experts.
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