Une semaine après l’arrestation de l’ex-ministre Ablassé Ouédraogo, la Cédéao dénonce dans son communiqué de dimanche, la procédure « illégale et arbitraire » des réquisitions qui ont cours de manière récurrente au Burkina Faso contre ceux qui font entendre des voix dissonantes face au régime d’Ibrhaim Traoré.
La Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest exprime sa « préoccupation » concernant « l’interpellation et la détention de personnalités politique et de la société civile par les autorités de la transition ». Une préoccupation suivie d’un « appel pressant pour la libération immédiate des personnes interpellées ». En outre, la Cédéao invite le pourvoir burkinabé à prendre toutes les mesures urgentes en vue d’un « retour rapide à l’ordre constitutionnel ».
La Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest exprime sa « préoccupation » concernant « l’interpellation et la détention de personnalités politique et de la société civile par les autorités de la transition ». Une préoccupation suivie d’un « appel pressant pour la libération immédiate des personnes interpellées ». En outre, la Cédéao invite le pourvoir burkinabé à prendre toutes les mesures urgentes en vue d’un « retour rapide à l’ordre constitutionnel ».
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