Allah n’est obligé… disait le célèbre écrivain Ivoirien, Ahmadou Kourouma dans son roman dédié aux enfants soldats du Libéria. Pour le paraphraser l’on dira, également que le Conseil constitutionnel n’est pas et n’était pas obligé de suivre le Président Sall.
Il est évident, diront certains que le Conseil a fait preuve de courage mais ce qu’il faut tout simple opposer à ceux qui le disent. C’est que les sages ont fait leur travail. Point barre. Dans cette longue traversée du désert politique sénégalais, le Président Macky Sall semble se plier à la volonté du peuple qui désire exprimer son droit le plus absolu : le choix de choisir son président. Au bout du chemin une oasis inespérée, coulant de source, s’est offerte au président de la République qui, apparemment, était d’une soif énorme de tenir cette élection et quitter son poste le 2 avril prochain.
Dans le méli-mélo, ont jailli deux dates : le 24 mars pour le Président et le 31 mars pour le Conseil constitutionnel. Ce jour, dans l’après-midi, l’instance suprême s’est finalement pliée à la date du 24 mars. Dans un communiqué, le Conseil constitutionnel a officialisé cette « allégeance ». Dans son document officiel le Conseil constitutionnel mentionne, « la fixation de la date de l’élection et la convocation du corps électoral relève des prérogatives légales du président de la République ».
En outre, souligne le Conseil, « en conséquence, par application des décrets n° 2024-640 et 2024-691 du 06 mars 2024 précités, le scrutin pour l’élection du président de la République se tiendra le 24 mars 2024 ».
Tout est bien qui finit bien. Les dates de l’élection présidentielle sorties hier soirs des arcanes de la présidence et du Conseil Constitutionnel se rejoignent enfin. Autrement dit, l’élection aura lieu conformément à la date retenue par Macky Sall : le 24 mars prochain.
Il est évident, diront certains que le Conseil a fait preuve de courage mais ce qu’il faut tout simple opposer à ceux qui le disent. C’est que les sages ont fait leur travail. Point barre. Dans cette longue traversée du désert politique sénégalais, le Président Macky Sall semble se plier à la volonté du peuple qui désire exprimer son droit le plus absolu : le choix de choisir son président. Au bout du chemin une oasis inespérée, coulant de source, s’est offerte au président de la République qui, apparemment, était d’une soif énorme de tenir cette élection et quitter son poste le 2 avril prochain.
Dans le méli-mélo, ont jailli deux dates : le 24 mars pour le Président et le 31 mars pour le Conseil constitutionnel. Ce jour, dans l’après-midi, l’instance suprême s’est finalement pliée à la date du 24 mars. Dans un communiqué, le Conseil constitutionnel a officialisé cette « allégeance ». Dans son document officiel le Conseil constitutionnel mentionne, « la fixation de la date de l’élection et la convocation du corps électoral relève des prérogatives légales du président de la République ».
En outre, souligne le Conseil, « en conséquence, par application des décrets n° 2024-640 et 2024-691 du 06 mars 2024 précités, le scrutin pour l’élection du président de la République se tiendra le 24 mars 2024 ».
Tout est bien qui finit bien. Les dates de l’élection présidentielle sorties hier soirs des arcanes de la présidence et du Conseil Constitutionnel se rejoignent enfin. Autrement dit, l’élection aura lieu conformément à la date retenue par Macky Sall : le 24 mars prochain.
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