Invité de l'émission "Grand Jury" de ce dimanche, le porte parole du parti d’Idrissa Seck a déclaré que : «dans tous les pays de démocratie sérieuse, au-delà de secret défense, quant il y a des enquêtes sensibles sur de telles questions, le Procureur normalement doit faire une sortie médiatique régulière. Non pas pour communiquer et donner une orientation, mais juste pour donner des informations objectives ».
Poursuivant son intervention, il précise « qu’au-delà des questions de secret défense, nous savons comment fonctionne une république. Il n’est pas question d’étaler sur la place publique les secrets de l’Etat. Mais, il y a une enquête qui est en train d’être menée. Tous les pays démocratiques vous les voyez, s’il y a un attentat en France, le procureur de la république peut faire des conférences deux trois fois la journée. Parce que nous avons un devoir d’information ».
Au delà de cette question, Abdourahmane Diouf ajoute : « Moi je fais partie de ceux qui voudraient éviter qu’il ait une discussion sérieuse sur la question. La Casamance est une question extrêmement sérieuse autour de laquelle nous devrions avoir une union sacrée, pouvoir comme opposition. Et je me réjouissais du fait qu’on soit resté quelques temps avec une accalmie. Qu’est ce que le gouvernement ou le Président de la République a fait pour avoir cette accalmie, je ne sais pas ? ».
M. Diouf demande un dialogue politique national autour de la Casamance. Parce que, dit-il, « les solutions ne viendraient pas seulement du camps Président. Chacun a sa petit expérience, il pourrait faire une contribution. Nous demandons à ce qu’il y ait une politique économique volontariste du gouvernement en faveur de la Casamance ».
Poursuivant son intervention, il précise « qu’au-delà des questions de secret défense, nous savons comment fonctionne une république. Il n’est pas question d’étaler sur la place publique les secrets de l’Etat. Mais, il y a une enquête qui est en train d’être menée. Tous les pays démocratiques vous les voyez, s’il y a un attentat en France, le procureur de la république peut faire des conférences deux trois fois la journée. Parce que nous avons un devoir d’information ».
Au delà de cette question, Abdourahmane Diouf ajoute : « Moi je fais partie de ceux qui voudraient éviter qu’il ait une discussion sérieuse sur la question. La Casamance est une question extrêmement sérieuse autour de laquelle nous devrions avoir une union sacrée, pouvoir comme opposition. Et je me réjouissais du fait qu’on soit resté quelques temps avec une accalmie. Qu’est ce que le gouvernement ou le Président de la République a fait pour avoir cette accalmie, je ne sais pas ? ».
M. Diouf demande un dialogue politique national autour de la Casamance. Parce que, dit-il, « les solutions ne viendraient pas seulement du camps Président. Chacun a sa petit expérience, il pourrait faire une contribution. Nous demandons à ce qu’il y ait une politique économique volontariste du gouvernement en faveur de la Casamance ».
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