Abdou Latif Coulibaly qui était l’un des invités de l’émission Remue ménage de la RFM a estimé que les Sénégalais n’ont aucun problème avec leur l’Etat mais plutôt avec la manière dont il est géré. « Les sénégalais n’ont pas de problème avec l’Etat sénégalais ; ils ont un problème avec la conduite et la gouvernance qui sont appliquées à la gestion de l’Etat » soutient Abdou Latif Coulibaly.
La preuve selon l’auteur des « Comptes et Mécomptes de l’ANOCI », il n’y a pas de rupture de consensus par rapport à cette manière d’accepter qu’il y ait un Parlement, un Sénat et un Conseil constitutionnel. Car tous les Sénégalais, consensuellement, sont d’accord sur ça, y compris l’opposition à Me Wade, y compris beaucoup de compatriotes et de partenaires qui travaillent avec lui. « C’est le rapport que le chef de l’Etat a établi avec les institutions qui est en cause » martèle le Directeur de l’Institut supérieur des sciences de l’Information et de la Communication.
Et de déduire qu’un tel problème ne peut pas être réglé par un dialogue politique. Il revient au principal concerné, le chef de l’Etat de le faire. « Ça, un dialogue ne peut pas le régler. C’est lui qui assume sa conscience, sa responsabilité, sa fonction et sa centralité dans l’Etat et se soumet au droit » soutient Abdou Latif Coulibaly.
La preuve selon l’auteur des « Comptes et Mécomptes de l’ANOCI », il n’y a pas de rupture de consensus par rapport à cette manière d’accepter qu’il y ait un Parlement, un Sénat et un Conseil constitutionnel. Car tous les Sénégalais, consensuellement, sont d’accord sur ça, y compris l’opposition à Me Wade, y compris beaucoup de compatriotes et de partenaires qui travaillent avec lui. « C’est le rapport que le chef de l’Etat a établi avec les institutions qui est en cause » martèle le Directeur de l’Institut supérieur des sciences de l’Information et de la Communication.
Et de déduire qu’un tel problème ne peut pas être réglé par un dialogue politique. Il revient au principal concerné, le chef de l’Etat de le faire. « Ça, un dialogue ne peut pas le régler. C’est lui qui assume sa conscience, sa responsabilité, sa fonction et sa centralité dans l’Etat et se soumet au droit » soutient Abdou Latif Coulibaly.
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