Le mouvement Y'en a marre en conférence de presse, ce mercredi s'est prononcé sur la question malienne qui engage l’implication de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), et surtout la responsabilité des peuples africains. Selon les Y’en a maristes, parler du Mali, c’est évoquer une corruption qui touche toutes les sphères de la société malienne, une mal gouvernance assumée qui engage n’on seulement la responsabilité de l’institution de la CEDEAO. « La famille présidentielle qui faisait la pluie et le beau temps, a fini d’installer le pays dans une instabilité », affirme Fadel Barro.
Le mouvement Y en a marre demande à la CEDEAO de prendre le temps de régler les vrais problèmes du Mali avant d’aller vers des solutions actives. Pour les membres dudit mouvement, « il faut d’abord s’atteler sur le vécu des Maliens, l’insécurité ». Le plus important pour eux, est que la CEDEAO s’assure d’organiser une élection ou les citoyens puissent s’exprimer librement, pour choisir leur destin.
« Il faut prendre le temps de régler les vrais problèmes avant d’aller vers des solutions actives. La question du Mali n’est pas seulement l’affaire des chefs d’Etat. Ils ne s’occupent que du pouvoir. On ne s’occupe pas de nos vécus, de ce que nous vivons, de ce que nous faisons », martèle Fadel Barro.
Pour Aliou Sané, le système de gouvernance au Mali, n’est pas seulement propre au Mali, mais à toute la Sous-région. « Avec la plupart des pays africain avec des gens qu’on élit, qui arrivent au pouvoir, et oublient ce pour quoi ils ont été élus. Et qui finissent par installer un système de corruption, de prédation des ressources publiques. Nous avons vu tous ces mouvements. Mais malheureusement, IBK n’a pas su à temps comprendre les signaux, et tout ce qui se dégageait », tonne Aliou Sané.
Le mouvement Y en a marre demande à la CEDEAO de prendre le temps de régler les vrais problèmes du Mali avant d’aller vers des solutions actives. Pour les membres dudit mouvement, « il faut d’abord s’atteler sur le vécu des Maliens, l’insécurité ». Le plus important pour eux, est que la CEDEAO s’assure d’organiser une élection ou les citoyens puissent s’exprimer librement, pour choisir leur destin.
« Il faut prendre le temps de régler les vrais problèmes avant d’aller vers des solutions actives. La question du Mali n’est pas seulement l’affaire des chefs d’Etat. Ils ne s’occupent que du pouvoir. On ne s’occupe pas de nos vécus, de ce que nous vivons, de ce que nous faisons », martèle Fadel Barro.
Pour Aliou Sané, le système de gouvernance au Mali, n’est pas seulement propre au Mali, mais à toute la Sous-région. « Avec la plupart des pays africain avec des gens qu’on élit, qui arrivent au pouvoir, et oublient ce pour quoi ils ont été élus. Et qui finissent par installer un système de corruption, de prédation des ressources publiques. Nous avons vu tous ces mouvements. Mais malheureusement, IBK n’a pas su à temps comprendre les signaux, et tout ce qui se dégageait », tonne Aliou Sané.
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