Samuel Ameth SARR a, devant les parlementaires, accusé Moustapha Niasse d’enrichissement supposé sur des contrats d’Etat à Etat. Il l’aurait fait, selon lui, par l’intermédiaire, d’une ou des sociétés de pétrole privées qu’il contrôlerait. Sans vouloir le citer nommément, le chef de file de l’AFP contre attaque. Il s’est catégoriquement inscrit en faux contre de telles affirmations. «Je m’inscris totalement en faux contre ces accusations calomnieuses et sans fondement», a déclaré le secrétaire général des progressistes. Avant de préciser qu’il n’est pas l’alter ego de Samuel SARR.
Le premier Premier ministre de l’alternance persiste et signe. Il a affirmé n’avoir jamais touché au pétrole du Sénégal. A celui qui l’accuse de vol, il souligne que le Président Senghor avec qui il a commencé à travailler à l’âge de 28 ans ne le lui a jamais appris.
Il n’a pas manqué de faire la leçon à celui qui l’accuse «d’enrichissement illicite», en l’occurrence Samuel SARR. Le Secrétaire général de l’Alliance des Forces de Progrès a avancé que le pétrole ne s’offre pas. Parce que c’est interdit par la loi internationale. «Pas une seule goutte de pétrole n’est offerte à qui que ce soit dans le monde», a-t-il précisé. Mieux, a ajouté Moustapha Niasse : «jamais je n’ai eu à vendre ni à acheter du pétrole pour le compte du Sénégal, ni directement, ni indirectement».
Le Président de conseil d’administration et patrons de grandes sociétés qui sont dans le secteur pétrolier a indiqué qu’il n’a jamais travaillé dans ce domaine au Sénégal.
Le Secrétaire de l’AFP ne trouve pas d’intérêt à porter plainte contre Samuel SARR dont le père a travaillé avec lui, en 1968, comme journaliste lorsqu’il était Directeur de l’Information.
Mais le Ministre de l’Energie devra se garder de reprendre de tels propos la prochaine fois pour éviter d’être traîné devant la justice. Moustapha Niasse a fait savoir que le ministre de l’Energie est un habitué des faits. Selon lui, Samuel SARR est allé trouver refuge à Touba quand il lui a servi une sommation interpellative il y a deux ans pour les mêmes propos.
Le premier Premier ministre de l’alternance persiste et signe. Il a affirmé n’avoir jamais touché au pétrole du Sénégal. A celui qui l’accuse de vol, il souligne que le Président Senghor avec qui il a commencé à travailler à l’âge de 28 ans ne le lui a jamais appris.
Il n’a pas manqué de faire la leçon à celui qui l’accuse «d’enrichissement illicite», en l’occurrence Samuel SARR. Le Secrétaire général de l’Alliance des Forces de Progrès a avancé que le pétrole ne s’offre pas. Parce que c’est interdit par la loi internationale. «Pas une seule goutte de pétrole n’est offerte à qui que ce soit dans le monde», a-t-il précisé. Mieux, a ajouté Moustapha Niasse : «jamais je n’ai eu à vendre ni à acheter du pétrole pour le compte du Sénégal, ni directement, ni indirectement».
Le Président de conseil d’administration et patrons de grandes sociétés qui sont dans le secteur pétrolier a indiqué qu’il n’a jamais travaillé dans ce domaine au Sénégal.
Le Secrétaire de l’AFP ne trouve pas d’intérêt à porter plainte contre Samuel SARR dont le père a travaillé avec lui, en 1968, comme journaliste lorsqu’il était Directeur de l’Information.
Mais le Ministre de l’Energie devra se garder de reprendre de tels propos la prochaine fois pour éviter d’être traîné devant la justice. Moustapha Niasse a fait savoir que le ministre de l’Energie est un habitué des faits. Selon lui, Samuel SARR est allé trouver refuge à Touba quand il lui a servi une sommation interpellative il y a deux ans pour les mêmes propos.
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