La loi sur la parité va être votée ce vendredi. Mais les femmes en parlent déjà.
La commission femmes élues de l’association d’élus locaux s’est réunie avec ses partenaires qui devront lui servir d’accompagnateur pour discuter.
«On vient de fêter nos 50 ans et aujourd’hui, le Président de la République nous a donnés l’occasion de voter une loi sur la parité. Donc, on est là pour parler avec nos partenaires pour l’accompagnement. Car le vendredi, on va voter cette loi. C’est pour quoi on en parle», a dit la conseillère qui tient à ce que cette loi soit appliquée une fois qu’elle sera votée. Car c’est la volonté des femmes.
La commission femmes élues de l’association d’élus locaux qui salue la décision du chef de l’Etat espère qu’il y aura des mesures d’accompagnement et un suivi pour permettre aux femmes de faire leurs preuves.
Les femmes ont déjà parlé à leurs sœurs de l’intérieur du pays de cette loi sur la parité.
«Nous avons sillonné tout le pays pour parler à nos sœurs qui sont dans tous les coins les plus reculés de leur participation au niveau de la politique au niveau des centres de décision, au niveau des listes électorales pour être demain dans les conseils locaux», a confié la conseillère régionale de Matam et Sénatrice, membre de la commission Femmes.
La commission femmes élues de l’association d’élus locaux s’est réunie avec ses partenaires qui devront lui servir d’accompagnateur pour discuter.
«On vient de fêter nos 50 ans et aujourd’hui, le Président de la République nous a donnés l’occasion de voter une loi sur la parité. Donc, on est là pour parler avec nos partenaires pour l’accompagnement. Car le vendredi, on va voter cette loi. C’est pour quoi on en parle», a dit la conseillère qui tient à ce que cette loi soit appliquée une fois qu’elle sera votée. Car c’est la volonté des femmes.
La commission femmes élues de l’association d’élus locaux qui salue la décision du chef de l’Etat espère qu’il y aura des mesures d’accompagnement et un suivi pour permettre aux femmes de faire leurs preuves.
Les femmes ont déjà parlé à leurs sœurs de l’intérieur du pays de cette loi sur la parité.
«Nous avons sillonné tout le pays pour parler à nos sœurs qui sont dans tous les coins les plus reculés de leur participation au niveau de la politique au niveau des centres de décision, au niveau des listes électorales pour être demain dans les conseils locaux», a confié la conseillère régionale de Matam et Sénatrice, membre de la commission Femmes.
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