«La situation actuelle du pays est caractérisée par une certaine angoisse et des craintes des populations et des investisseurs sur l’avenir immédiat du Sénégal dans un contexte où les contestations sur le processus pré-électoral font rage». Ces propos découlent des observations du Forum civil qui s’est penché sur les suspicions de l’opposition, laquelle perçoit des actes posés par le régime du Président Macky Sall, comme les prémices d’une fraude lors de la présidentielle du 24 février prochain.
Selon cette entité de la société civile, ce manque de confiance est suscité par l’instauration, sans débat démocratique, de la loi sur le parrainage car, faisant penser à une pré-sélection des participants aux joutes électorales. D’ailleurs, relèvent les camarades de Birahim Seck, ils avaient déjà essayé d’attirer l’attention des acteurs le 9 octobre dernier sur cette situation.
En effet, l’organisation des élections confiée au ministre de l’Intérieur qui est membre du parti au pouvoir constitue un point non-négligeable de l’exacerbation des craintes de l’opposition de voir les résultats du scrutin être truqués.
Pour ne rien arranger à la situation, ils indexent la manière avec laquelle le dossier Khalifa Sall est traité, ainsi que la sortie du président de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) qui dénonce la vassalité du pouvoir judiciaire à l’Exécutif. A les en croire, au vu de tous ces points litigieux, les acteurs, pour l’intérêt supérieur de la Nation, doivent faciliter les conditions d’un dialogue sincère afin de rétablir la confiance.
Selon cette entité de la société civile, ce manque de confiance est suscité par l’instauration, sans débat démocratique, de la loi sur le parrainage car, faisant penser à une pré-sélection des participants aux joutes électorales. D’ailleurs, relèvent les camarades de Birahim Seck, ils avaient déjà essayé d’attirer l’attention des acteurs le 9 octobre dernier sur cette situation.
En effet, l’organisation des élections confiée au ministre de l’Intérieur qui est membre du parti au pouvoir constitue un point non-négligeable de l’exacerbation des craintes de l’opposition de voir les résultats du scrutin être truqués.
Pour ne rien arranger à la situation, ils indexent la manière avec laquelle le dossier Khalifa Sall est traité, ainsi que la sortie du président de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) qui dénonce la vassalité du pouvoir judiciaire à l’Exécutif. A les en croire, au vu de tous ces points litigieux, les acteurs, pour l’intérêt supérieur de la Nation, doivent faciliter les conditions d’un dialogue sincère afin de rétablir la confiance.
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