1.192 candidats étaient en lice pour 140 sièges à pourvoir à l'Assemblée nationale.
L'annulation totale et non partielle de ce vote est perçue par certains analystes comme la conséquence des difficultés de l'Autorité Nationale des Elections (ANE), de tenir le pari d'organiser une élection libre et transparence, alors que le pays continue de faire face aux défis sécuritaires.
La Centrafrique a basculé dans la violence attribuée principalement aux milices Séléka et Antibalaka après le renversement en 2013 de François Bozizé par la rébellion Séléka conduite par Michel Djotodia.
Le nouveau défi de l'ANE est de convoquer à nouveau le corps électoral et de trouver les moyens financiers nécessaires pour organiser dans un délai raisonnable de nouvelles élections législatives dans des conditions plus acceptables et transparentes.
Source: BBC Afrique
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