Le SEN de l'APR ne s'est pas privé de jeter un pavé dans la mare du nouveau régime. Ce jet de quolibets commence d'abord par les nominations que les camarades de Macky Sall qualifient de "nominations populistes de bas étage dont le niveau fait frémir chaque mercredi et qui récompensent les liaisons dangereuses et basses, les turpitudes de naguère". Encore, poursuivent-ils, "la fragilisation de l’unité des Sénégalais, où l’insouciance et l’irresponsabilité prévalent devant la juste prise en compte de ce patrimoine qui sous-tend notre vivre-ensemble". Poursuivant le SEN parle de : "la tentation d’instrumentalisation de la justice, la diabolisation du pouvoir sortant, de l’opposition et de la presse en perspective des élections législatives".
Scénario morbide
Parlant de scénario morbide, le SEN fait allusion à une "inflation verbale servant d'alibi à l'inaction". "On pourrait leur rappeler l’urgence pour ces jeunes gens qui ont « cru » au Projet et qui meurent noyés tous les jours dans l’Atlantique. Ousmane Sonko qui leur avait fait miroiter un règlement prioritaire de leur situation se contente de répéter après chaque drame, qu’ils doivent rester au pays, sans dire qu’elle est la politique envisagée pour les intégrer dans la société du travail" se désolent les "apéristes".
Et ceux-là de pousser plus loin, "en vérité, l’analyse du discours des tenants actuels du pouvoir, notamment ceux de Ousmane Sonko montre que celui-ci s’en prend régulièrement et de manière provocante à tel ou tel aspect de la vie des Sénégalais. Récemment, c’est le port du voile sur lequel il se pose en défenseur rigoureux d’un certain Islam, ce qui est à l’opposé de sa position mitigée, molle et légère, il y a quelques mois devant Mélenchon".
Pour clore ce chapitre sur le voile, les camarades de l'ancien président de la République ont rappelé au nouveau régime, le vivre ensemble des Sénégalais qui fait la fierté de tous.
Reddition des comptes ou chasse aux sorcières
Pour aborder ce sujet, le SEN est revenu sur une déclaration du Premier ministre Ousmane Sonko. Une déclaration selon laquelle affirme les anciens du parti au pouvoir augure une chasse aux sorcières. En substance, le PM Ousmane Sonko disait à ce propos, qu’il "va balayer la magistrature et mettre des magistrats qui vont faire le travail pour la reddition des comptes". Lors d'un entretien accordé à des médias, le président Diomaye Faye avait dit "fait faire des enquêtes sur les magistrats devant être nommés et qu’il planche avec son Premier ministre, qui n’est pas membre du CSM et qui ne contresigne pas les décrets de nomination des magistrats en CSM sur les propositions faites par le ministre de la Justice". Somme tous ces propos qui font penser aux responsables du SEN à une chasse aux sorcières et non le contraire.
Enfin, souligne le SEN, "or, une reddition des comptes objective et équitable doit se fonder exclusivement sur des rapports des corps de contrôle, mais non sur des audits orientés pour traquer des opposants".
Scénario morbide
Parlant de scénario morbide, le SEN fait allusion à une "inflation verbale servant d'alibi à l'inaction". "On pourrait leur rappeler l’urgence pour ces jeunes gens qui ont « cru » au Projet et qui meurent noyés tous les jours dans l’Atlantique. Ousmane Sonko qui leur avait fait miroiter un règlement prioritaire de leur situation se contente de répéter après chaque drame, qu’ils doivent rester au pays, sans dire qu’elle est la politique envisagée pour les intégrer dans la société du travail" se désolent les "apéristes".
Et ceux-là de pousser plus loin, "en vérité, l’analyse du discours des tenants actuels du pouvoir, notamment ceux de Ousmane Sonko montre que celui-ci s’en prend régulièrement et de manière provocante à tel ou tel aspect de la vie des Sénégalais. Récemment, c’est le port du voile sur lequel il se pose en défenseur rigoureux d’un certain Islam, ce qui est à l’opposé de sa position mitigée, molle et légère, il y a quelques mois devant Mélenchon".
Pour clore ce chapitre sur le voile, les camarades de l'ancien président de la République ont rappelé au nouveau régime, le vivre ensemble des Sénégalais qui fait la fierté de tous.
Reddition des comptes ou chasse aux sorcières
Pour aborder ce sujet, le SEN est revenu sur une déclaration du Premier ministre Ousmane Sonko. Une déclaration selon laquelle affirme les anciens du parti au pouvoir augure une chasse aux sorcières. En substance, le PM Ousmane Sonko disait à ce propos, qu’il "va balayer la magistrature et mettre des magistrats qui vont faire le travail pour la reddition des comptes". Lors d'un entretien accordé à des médias, le président Diomaye Faye avait dit "fait faire des enquêtes sur les magistrats devant être nommés et qu’il planche avec son Premier ministre, qui n’est pas membre du CSM et qui ne contresigne pas les décrets de nomination des magistrats en CSM sur les propositions faites par le ministre de la Justice". Somme tous ces propos qui font penser aux responsables du SEN à une chasse aux sorcières et non le contraire.
Enfin, souligne le SEN, "or, une reddition des comptes objective et équitable doit se fonder exclusivement sur des rapports des corps de contrôle, mais non sur des audits orientés pour traquer des opposants".
Autres articles
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24
-
Vote de budget 2025 à l'Assemblée nationale : voici les ministères qui passeront devant la commission ce dimanche
-
Situation des Sénégalais à Mayotte : ADHA dénonce le silence des autorités et interpelle le Président Diomaye Faye
-
Absence de publication du rapport budgétaire du 3ᵉ trimestre 2024 : Pape Malick Ndour interpelle les autorités