Le frère du président Sall est enfin sorti de sa réserve sur les accusations de vol de Wade en son encontre. Il dit avoir tardé à répondre car croyant à de la politique politicienne. Mais trop, c’est trop, sert Aliou Sall qui précise avoir même manqué de peu de « verser des larmes ». Ce, compte tenu de la « gravité des accusations ». Avant de donner sa version des faits. «Je n’ai aucune action, ni aucune part dans aucune société travaillant dans le pétrole », scande-t-il. Selon lui, il s’agit d’une histoire montée de toutes pièces » par le camp adverse.
Revenant sur la sommation interpellative, Aliou Sall de préciser qu’arrivé sur place, l’huissier de Justice s’est vu notifié hier mercredi que : «le président Wade a bien reçu la sommation et donnera la réponse appropriée aux questions posées». Et ce jeudi, l’huissier y est retourné et Wade de lui servir: «Je répondrai, rassurez-vous mais le moment que je choisirai et sous la forme qui me paraîtra la meilleure ». Sur ce point, le frère du président de la République, a fini de son faire son idée. Selon lui, « Wade n’est pas fou. Il sait bien ce qu’il fait ».
Et il ne va pas répéter ces accusations. « S’il le fait, je porte plainte», menace Aliou Sall qui en vient à la fameuse Petro-Tim Limited. « Wade doit se rétracter », sert-il par ailleurs. «je n’ai aucune action dans une société dénommée Petro-Tim Sénégal », répète-t-il. Tout est parti de 2011, entame Aliou Sall. Ce, lorsqu’il était, dit-il, ministre conseiller, chef du bureau économique à l’Ambassade de Chine. Il a été approché par des hommes d’affaires chinois en quête de bonnes opportunités notamment Eddie Wang qui voulait investir au Sénégal.
Des négociations ont été entamées avec le gouvernement Sénégalais. Et se sont soldées en décembre 2011, par la signature d’un mémorandum avec Ibrahima Mbodji, l’ancien Directeur général de Petrosen et Karim Wade, ministre d’Etat, ministre de l’Energie, lui-même. Pire, le 17 janvier 2012, en pleine campagne électorale, l’accord a été signé, stipulant que l’Etat du Sénégal accorde à la société Petro-Tim Limited les blocs de Saint-Louis et de Kayar. Et Abdoulaye Wade a aussi signé. Par décret présidentiel, il a approuvé le contrat », enfonce Aliou Sall qui martèle: «Si, c’est faux qu’il m’envoie en prison ».
Dans ce contrat, l’article 4, alinéa 8 stipule que l’Etat du Sénégal oblige Petro-Tim Limited à créer une filiale pour le représenter. Saisi en ce sens par l’homme d’affaires chinois, Aliou Sall dit avoir sauté sur l’occasion, saisissant ainsi selon ses propres termes, « l’opportunité de rentrer en Chine ». La procédure interrompue par la présidentielle de 2012, ce n’est qu’après la victoire du président Sall qu’Eddie Wang a relancé l’Etat du Sénégal. A ce propos, le contrat déjà signé par Wade, Macky n’avait pas d’autre choix que reprendre le décret de son prédécesseur ».
"Dans cette affaire, Petro-Tim Limited n'a fait que lui donner les pouvoirs" pour le représenter au Sénégal. "Certains libéraux m'ont même appelé pour me demander de comprendre Wade car il est devenu vieux". Mais le responsable de l'Alliance Pour la République (APR) persiste et signe: "Wade sait bien ce qu'il fait". Il veut un compagnon pour karim, ce que je ne suis pas. Car "je n'ai pas attendu que mon père soit président pour revenir au Sénégal", lance Aliou Sall qui conclut qu'il n'acceptera pas qu'on le compare à un "voleur". ça, il faut que Wade le comprenne bien, tranche-t-il.
Revenant sur la sommation interpellative, Aliou Sall de préciser qu’arrivé sur place, l’huissier de Justice s’est vu notifié hier mercredi que : «le président Wade a bien reçu la sommation et donnera la réponse appropriée aux questions posées». Et ce jeudi, l’huissier y est retourné et Wade de lui servir: «Je répondrai, rassurez-vous mais le moment que je choisirai et sous la forme qui me paraîtra la meilleure ». Sur ce point, le frère du président de la République, a fini de son faire son idée. Selon lui, « Wade n’est pas fou. Il sait bien ce qu’il fait ».
Et il ne va pas répéter ces accusations. « S’il le fait, je porte plainte», menace Aliou Sall qui en vient à la fameuse Petro-Tim Limited. « Wade doit se rétracter », sert-il par ailleurs. «je n’ai aucune action dans une société dénommée Petro-Tim Sénégal », répète-t-il. Tout est parti de 2011, entame Aliou Sall. Ce, lorsqu’il était, dit-il, ministre conseiller, chef du bureau économique à l’Ambassade de Chine. Il a été approché par des hommes d’affaires chinois en quête de bonnes opportunités notamment Eddie Wang qui voulait investir au Sénégal.
Des négociations ont été entamées avec le gouvernement Sénégalais. Et se sont soldées en décembre 2011, par la signature d’un mémorandum avec Ibrahima Mbodji, l’ancien Directeur général de Petrosen et Karim Wade, ministre d’Etat, ministre de l’Energie, lui-même. Pire, le 17 janvier 2012, en pleine campagne électorale, l’accord a été signé, stipulant que l’Etat du Sénégal accorde à la société Petro-Tim Limited les blocs de Saint-Louis et de Kayar. Et Abdoulaye Wade a aussi signé. Par décret présidentiel, il a approuvé le contrat », enfonce Aliou Sall qui martèle: «Si, c’est faux qu’il m’envoie en prison ».
Dans ce contrat, l’article 4, alinéa 8 stipule que l’Etat du Sénégal oblige Petro-Tim Limited à créer une filiale pour le représenter. Saisi en ce sens par l’homme d’affaires chinois, Aliou Sall dit avoir sauté sur l’occasion, saisissant ainsi selon ses propres termes, « l’opportunité de rentrer en Chine ». La procédure interrompue par la présidentielle de 2012, ce n’est qu’après la victoire du président Sall qu’Eddie Wang a relancé l’Etat du Sénégal. A ce propos, le contrat déjà signé par Wade, Macky n’avait pas d’autre choix que reprendre le décret de son prédécesseur ».
"Dans cette affaire, Petro-Tim Limited n'a fait que lui donner les pouvoirs" pour le représenter au Sénégal. "Certains libéraux m'ont même appelé pour me demander de comprendre Wade car il est devenu vieux". Mais le responsable de l'Alliance Pour la République (APR) persiste et signe: "Wade sait bien ce qu'il fait". Il veut un compagnon pour karim, ce que je ne suis pas. Car "je n'ai pas attendu que mon père soit président pour revenir au Sénégal", lance Aliou Sall qui conclut qu'il n'acceptera pas qu'on le compare à un "voleur". ça, il faut que Wade le comprenne bien, tranche-t-il.
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