A Sébicotane les impactés du Train Express Régional (Ter) reviennent à la charge. Ils dénoncent le traitement à deux vitesses dans les indemnisations. Certains n’ont pas encore reçu leur chèque pour quitter. Au même moment, des malfaiteurs rodent autour des maisons installant l’insécurité dans la zone. Ces impactés, ont fait face à la presse ce samedi.
Ces gens qu’on appelle " boudioumanes", ils sont guidé. Ce n’est pas par hasard qu’aujourd’hui, quand on doit casser une maison, il n’est pas donné à n’importe qui pour savoir, c’est telle ou telle maison qui sera démoli. Mais ces gens sont tout le temps avant même la casse. Des fois, ils menacent en vous disant demain si vous ne sortez pas nous allons venir vous sortir par la force, parce que nous avons besoin de votre ferraille. C’est des gens qui sont guidé nous avons l’impression qu’ils sont avertis », tonne Papis Ndiaye membre du collectif ‘’Taxaw sougnou momel’’.
La question de l’indemnisation revient encore. L’État maintient sa décision d’indemniser seulement sur le bâti. Les impactés parle d’un poids deux mesures. « La solution doit venir de l’agence chargée de la promotion des investissements et des grands travaux de l’Etat (Apix). Vous faites quitter des impactés, il va falloir leur mettre dans leur droit. Mais nous ne sommes pas d’accord sur l’indemnisation parce que des le début ce que nous avons dit à la fin on ne l’a pas appliqué. On avait concilié deux chèques, sur le bâti et le foncier. Le préfet est revenu nous dire qu’on ne peut pas vous concilier sur le foncier, ce serait un site de relogement».
Ces impactés disent ne pas comprendre aussi les lenteurs dans l’aménagement du site de recasement et interpelle le chef de l’État.
Ces gens qu’on appelle " boudioumanes", ils sont guidé. Ce n’est pas par hasard qu’aujourd’hui, quand on doit casser une maison, il n’est pas donné à n’importe qui pour savoir, c’est telle ou telle maison qui sera démoli. Mais ces gens sont tout le temps avant même la casse. Des fois, ils menacent en vous disant demain si vous ne sortez pas nous allons venir vous sortir par la force, parce que nous avons besoin de votre ferraille. C’est des gens qui sont guidé nous avons l’impression qu’ils sont avertis », tonne Papis Ndiaye membre du collectif ‘’Taxaw sougnou momel’’.
La question de l’indemnisation revient encore. L’État maintient sa décision d’indemniser seulement sur le bâti. Les impactés parle d’un poids deux mesures. « La solution doit venir de l’agence chargée de la promotion des investissements et des grands travaux de l’Etat (Apix). Vous faites quitter des impactés, il va falloir leur mettre dans leur droit. Mais nous ne sommes pas d’accord sur l’indemnisation parce que des le début ce que nous avons dit à la fin on ne l’a pas appliqué. On avait concilié deux chèques, sur le bâti et le foncier. Le préfet est revenu nous dire qu’on ne peut pas vous concilier sur le foncier, ce serait un site de relogement».
Ces impactés disent ne pas comprendre aussi les lenteurs dans l’aménagement du site de recasement et interpelle le chef de l’État.
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