Mouvement d’humeur des chevillards de la SOGAS. Ces derniers dénoncent la mauvaise gestion de leur équipement marchand par le Directeur Arouna Galo Bâ.
« Actuellement, nous sommes en colère contre les dirigeants de la SOGAS. Pendant trois (3) ans, nous sommes en train de négocier avec eux. Mais il ne nous considèrent pas. Nous tuons 500 bœufs par jour. Mais actuellement nous tuons que 150 ou 200 bœufs par jour. Comment peux-tu avoir des partenaires comme des chevillards, et tu ne peux même pas parler avec eux ? Comment peux-tu avoir des techniciens, les payer chaque jour et ces gens-là ne peuvent pas faire des entretiens ? », s’est étonné leur porte-parole du jour.
Manque d’eau potable pour leur alimentation, mais aussi pour le lavage de troupeau abattu, chambres froides en panne, sont, entre autres, les difficultés rencontrées par ces acteurs de l’élevage. Ils interpellent le chef de l’Etat pour un audit de leur espace de travail et la récupération de la gestion de cet équipement marchand des mains de Arouna Galo Bâ.
« L’eau est salée, on ne sait pas si c’est l’eau de mer, je ne sais d’où ça vient. Notre chambre frigorifique aussi ça ne va pas. Il n’y a pas de l’électricité à l’intérieur, c’est honteux. Ce que nous réclamons maintenant, comme la Sogas appartient à l’Etat, si Arouna Galo Bâ et ses compagnons ne peuvent plus diriger la Sogas, qu’ils nous le disent et le président de la République vient prendre la société et de chercher d’autres bailleurs qui peuvent nous mener de l’avant », martèle-t-il.
Ces chevillards, très remontés contre Arouna Galo Bâ, menacent de durcir le ton d’ici lundi si aucune mesure n’est prise par les autorités.
Par contre la réplique de la Direction générale de la Sogas n’a pas tardé. Mamadou Talla, le conseiller technique du Directeur générale, appelle à l’apaisement et précise tout de même que les revendications sont en train d'être prises en charge, livre Walf FM.
« Actuellement, nous sommes en colère contre les dirigeants de la SOGAS. Pendant trois (3) ans, nous sommes en train de négocier avec eux. Mais il ne nous considèrent pas. Nous tuons 500 bœufs par jour. Mais actuellement nous tuons que 150 ou 200 bœufs par jour. Comment peux-tu avoir des partenaires comme des chevillards, et tu ne peux même pas parler avec eux ? Comment peux-tu avoir des techniciens, les payer chaque jour et ces gens-là ne peuvent pas faire des entretiens ? », s’est étonné leur porte-parole du jour.
Manque d’eau potable pour leur alimentation, mais aussi pour le lavage de troupeau abattu, chambres froides en panne, sont, entre autres, les difficultés rencontrées par ces acteurs de l’élevage. Ils interpellent le chef de l’Etat pour un audit de leur espace de travail et la récupération de la gestion de cet équipement marchand des mains de Arouna Galo Bâ.
« L’eau est salée, on ne sait pas si c’est l’eau de mer, je ne sais d’où ça vient. Notre chambre frigorifique aussi ça ne va pas. Il n’y a pas de l’électricité à l’intérieur, c’est honteux. Ce que nous réclamons maintenant, comme la Sogas appartient à l’Etat, si Arouna Galo Bâ et ses compagnons ne peuvent plus diriger la Sogas, qu’ils nous le disent et le président de la République vient prendre la société et de chercher d’autres bailleurs qui peuvent nous mener de l’avant », martèle-t-il.
Ces chevillards, très remontés contre Arouna Galo Bâ, menacent de durcir le ton d’ici lundi si aucune mesure n’est prise par les autorités.
Par contre la réplique de la Direction générale de la Sogas n’a pas tardé. Mamadou Talla, le conseiller technique du Directeur générale, appelle à l’apaisement et précise tout de même que les revendications sont en train d'être prises en charge, livre Walf FM.
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