Symboliquement, Maurice avait choisi la journée internationale de la Francophonie, le 20 mars, pour annoncer officiellement qu’elle proposait Jean-Claude de L’Estrac comme successeur d’Abdou Diouf au poste de secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). L’enjeu est de taille puisque l’OIF gère un dispositif institutionnel voué à promouvoir la langue française et les relations de coopération entre 77 États et gouvernements membres ou observateurs.
Mais M. Jean Claude de l’estrac garde intactes ses chances de succéder au président sortant de l’OIF. D’ailleurs, certains n’hésitent pas à le surnommer « le candidat Africain ». Selon Joël Broquet, est le candidat le « plus conforme aux intérêts de la francophonie, représentatif d’un Sud à la fois insulaire et tourné vers l’Est indien, se distinguant d’une Afrique en pleine turbulence ». Le candidat de l'Île Maurice a même bouclé une tournée africaine de sept (7) jours qui l’a conduit au Gabon, en Côte d'Ivoire, au Bénin, et au Sénégal. Dans chacun de ces pays, il est reçu par les autorités concernées par sa candidature. Dans sa déclaration de candidature, il dit relevé une « convergence » entre leurs attentes et le projet Francophone qu’il propose.
L’un des points phares de ce projet, porte sur la mise en place d’une agence de promotion de l’industrialisation dans l’espace Francophone. « Ce projet a été plus ou moins bien accueilli dans la mesure où les pays qu’il venait de visiter avaient lancé des chantiers nationaux de développement axé sur l’industrialisation » avait déclaré le candidat Mauricien.
Le travail de Jean-Claude de l’Estrac depuis deux ans, en tant que secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI),avait révélé son dynamisme et sa capacité à mobiliser le monde économique jusqu’alors plutôt dubitatif vis-à-vis de la COI. Il a l’avantage d’avoir fait ses preuves dans le monde de l’entreprise, à la tête du groupe de presse La Sentinelle durant une dizaine d’années. Ce groupe édite le quotidien L’Express, où Jean-Claude de L’Estrac avait commencé comme journaliste avant de se lancer dans la politique.
Il fut aussi tour à tour ministre des Affaires Étrangères, du Tourisme, du Développement économique et du Plan puis de l’Industrie et des Technologies industrielles de son pays. Sur sa position de favori, pour la succession de Diouf, on en saura plus le dimanche avec la réunion à huis clos des chefs de l’État et de Gouvernements.
Mais M. Jean Claude de l’estrac garde intactes ses chances de succéder au président sortant de l’OIF. D’ailleurs, certains n’hésitent pas à le surnommer « le candidat Africain ». Selon Joël Broquet, est le candidat le « plus conforme aux intérêts de la francophonie, représentatif d’un Sud à la fois insulaire et tourné vers l’Est indien, se distinguant d’une Afrique en pleine turbulence ». Le candidat de l'Île Maurice a même bouclé une tournée africaine de sept (7) jours qui l’a conduit au Gabon, en Côte d'Ivoire, au Bénin, et au Sénégal. Dans chacun de ces pays, il est reçu par les autorités concernées par sa candidature. Dans sa déclaration de candidature, il dit relevé une « convergence » entre leurs attentes et le projet Francophone qu’il propose.
L’un des points phares de ce projet, porte sur la mise en place d’une agence de promotion de l’industrialisation dans l’espace Francophone. « Ce projet a été plus ou moins bien accueilli dans la mesure où les pays qu’il venait de visiter avaient lancé des chantiers nationaux de développement axé sur l’industrialisation » avait déclaré le candidat Mauricien.
Le travail de Jean-Claude de l’Estrac depuis deux ans, en tant que secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI),avait révélé son dynamisme et sa capacité à mobiliser le monde économique jusqu’alors plutôt dubitatif vis-à-vis de la COI. Il a l’avantage d’avoir fait ses preuves dans le monde de l’entreprise, à la tête du groupe de presse La Sentinelle durant une dizaine d’années. Ce groupe édite le quotidien L’Express, où Jean-Claude de L’Estrac avait commencé comme journaliste avant de se lancer dans la politique.
Il fut aussi tour à tour ministre des Affaires Étrangères, du Tourisme, du Développement économique et du Plan puis de l’Industrie et des Technologies industrielles de son pays. Sur sa position de favori, pour la succession de Diouf, on en saura plus le dimanche avec la réunion à huis clos des chefs de l’État et de Gouvernements.
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