Birame Faye à la tête de l'Agence Nationale pour l'Emploi des Jeunes (ANEJ) sort de sa réserve après l'annonce du président Sall en date d'hier faisant part du regroupement des quatre (4) agences en une seule entité. « C’est une bonne décision parce que c’est un élément fondamental du « Yonnu Yokkuté », programme sur lequel le chef de l’Etat a été élu. Le problème de l’emploi des jeunes se liste au nombre de trois (3). D’abord, le désordre institutionnel parce que le dispositif qu’on avait, favorisait des situations de confusions de rôles, de conflits d’intérêts et de compétences. C’était aussi une situation de double emploi. Donc, cette décision va mettre de l’ordre, de l’harmonie et de la cohérence dans le secteur de l’emploi. Ça va aussi régler le deuxième problème qui est le manque de moyens. On n’avait pas assez de ressources dans le secteur de l’emploi. La rationalisation va entraîner une fusion des budgets et au-delà, les aspects techniques et financiers. Pour la première fois dans l’histoire de ce pays, la Banque Mondiale nous appuie à hauteur de 18 milliards F CFA, la Banque Islamique de Développement nous soutient à hauteur de 60 milliards de F CFA inscrit dans son budget 2014 pour les domaines agricoles et communautaire.
Et enfin, l’un des avantages de cette rationalisation est la territorialisme et la décentralisation de nos activités et les intervenions de nos services. Ce qui m’intéresse dans cette décision, c’est l’intérêt général. Je ne suis pas animé par des soucis d’intérêt crypto-personnel… »
Salihou Keïta de l’Agence nationale d'Appui aux Marchands Ambulants (ANAMA), lâche. « Nous prenons acte. Nous avions été reçus par le président de la République pour dire que nous sommes des serviteurs de l’Etat. La décision, si elle émane bien du président, est à saluer. Il s’agit d’accompagner le président de la République par rapport à ses décisions pour avoir la satisfaction des populations. Quel que soit le poste qu’on va occuper, l’essentiel, c’est d’accompagner le président dans sa mission » sur les colonnes du journal "l'observateur".
Et enfin, l’un des avantages de cette rationalisation est la territorialisme et la décentralisation de nos activités et les intervenions de nos services. Ce qui m’intéresse dans cette décision, c’est l’intérêt général. Je ne suis pas animé par des soucis d’intérêt crypto-personnel… »
Salihou Keïta de l’Agence nationale d'Appui aux Marchands Ambulants (ANAMA), lâche. « Nous prenons acte. Nous avions été reçus par le président de la République pour dire que nous sommes des serviteurs de l’Etat. La décision, si elle émane bien du président, est à saluer. Il s’agit d’accompagner le président de la République par rapport à ses décisions pour avoir la satisfaction des populations. Quel que soit le poste qu’on va occuper, l’essentiel, c’est d’accompagner le président dans sa mission » sur les colonnes du journal "l'observateur".
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