Il y a le groupe de Rome, constitué de 20 mouvements dont plusieurs qui ont pignon sur rue : le Fact, l’UFR, le CCMSR ou encore l’UFDD. Ils ont mis en place un groupe de 14 délégués qui vont négocier en leur nom.
Le groupe de Doha compte lui 22 politico-militaires et alliés, dont des groupes en provenance du Soudan ou encore de Ndjamena. Il a déposé une liste de 16 délégués. Enfin, il y a le groupe Qatar qui aligne une dizaine de mouvements avec 8 délégués.
« Les choses sérieuses vont enfin commencer »
Du coup, la facilitation qatari a convoqué pour la première fois depuis le début de ces négociations, une rencontre informelle avec le gouvernement de transition et les politico-militaires tchadiens ce mardi matin, où l’on a parlé modalités de travail.
Première demande des rebelles, que le Qatar accepte d’être le médiateur officiel dans ces négociations. Une requête à laquelle le pays hôte a accédé lors d’un huis-clos avec les seuls politico-militaires dans l’après-midi. Restait la réponse du gouvernement, qui n’avait pas encore rencontré l’équipe qatarienne. Mais cela ne devrait pas poser de problème puisqu’il avait déjà donné son accord de principe, selon nos sources.
« Les choses sérieuses vont enfin commencer », toujours selon ces sources, avec une première rencontre ce mercredi 23 mars dans la matinée entre la médiation qatarienne et les délégués du groupe Qatar, qui vont lui présenter et discuter de son agenda et de ses conditions. Ce sera autour du groupe Doha dans l’après-midi puis les délégués de Rome jeudi matin. La suite du programme n’a pas encore été communiqué aux délégations par une équipe du Qatar qui veut garder la main sur l’agenda.
Le groupe de Doha compte lui 22 politico-militaires et alliés, dont des groupes en provenance du Soudan ou encore de Ndjamena. Il a déposé une liste de 16 délégués. Enfin, il y a le groupe Qatar qui aligne une dizaine de mouvements avec 8 délégués.
« Les choses sérieuses vont enfin commencer »
Du coup, la facilitation qatari a convoqué pour la première fois depuis le début de ces négociations, une rencontre informelle avec le gouvernement de transition et les politico-militaires tchadiens ce mardi matin, où l’on a parlé modalités de travail.
Première demande des rebelles, que le Qatar accepte d’être le médiateur officiel dans ces négociations. Une requête à laquelle le pays hôte a accédé lors d’un huis-clos avec les seuls politico-militaires dans l’après-midi. Restait la réponse du gouvernement, qui n’avait pas encore rencontré l’équipe qatarienne. Mais cela ne devrait pas poser de problème puisqu’il avait déjà donné son accord de principe, selon nos sources.
« Les choses sérieuses vont enfin commencer », toujours selon ces sources, avec une première rencontre ce mercredi 23 mars dans la matinée entre la médiation qatarienne et les délégués du groupe Qatar, qui vont lui présenter et discuter de son agenda et de ses conditions. Ce sera autour du groupe Doha dans l’après-midi puis les délégués de Rome jeudi matin. La suite du programme n’a pas encore été communiqué aux délégations par une équipe du Qatar qui veut garder la main sur l’agenda.
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