Thierno Alassane Sall s'est prononcé sur les convocations tout azimuts d'opposants et de journalistes. « L'actuel Président et le Premier ministre (Ousmane Sonko) avaient dit que l'article 80 est une hérésie et y compris les variantes de l'article 80, tout ce qui est offense au chef de l'Etat et des autorités. Et il avait dit tous ceux qui ne souffrent pas de critiques ne doivent pas faire de la critique et doivent rester chez eux », a-t-il tenu à rappeler à l'actuel régime.
« Apparemment, le simple fait de contester sa parole peut vous amener à la prison, ce qui n'est plus la démocratie », a-t-il lancé à l'endroit d'Ousmane Sonko. Selon lui, « si on lu le procès-verbal d'audition de Cheikh Yérim si tenter qu'il est authentique, on croit que c'est un pharaon, que le (Ousmane Sonko) regarder même est un crime, le regarder même avec une certaine hauteur dans les yeux, est un crime, alors qu'il passe son temps à dire des choses extrêmement contestables, lui qui a passé son temps à contester la parole des autorités et des résultats d'élections qui ont été sanctionnés par me Conseil constitutionnel, c'est cas même pitoyable ».
Se prononçant sur leurs libérations intervenues une demi-heure auparavant, Thierno. Alassane Sall pense qu'ils n'auraient jamais dû être arrêtés. « On ne se rend même pas compte, il y a quelques pays au monde, où mettre en doute la parole d'un Chef de l'Etat peut être considéré comme un crime », a-t-il fustigé.
« Quand on est venu par la démocratie, quand on aura tout dit dans ce pays-là, quand on a proféré toutes sortes d'accusations, de malédictions, de paroles virulentes, arriver jusqu'à dire que contester les chiffres qu'il avance est une atteinte à l'Etat, c’est quand même incroyable », a-t-il dit à l'endroit des nouvelles autorités.
Pour Thierno Alassane Sall, même la science se nourrit de contradiction et de contestation, à fortiori la politique. « Dire que les chiffres qu'il a produits ne sont pas contestables, ça, c'est de la catastrophe », a conclu l'ancien ministre de l'Énergie et du Pétrole sous Macky Sall.
« Regarder Ousmane Sonko est considéré comme un crime »
« Apparemment, le simple fait de contester sa parole peut vous amener à la prison, ce qui n'est plus la démocratie », a-t-il lancé à l'endroit d'Ousmane Sonko. Selon lui, « si on lu le procès-verbal d'audition de Cheikh Yérim si tenter qu'il est authentique, on croit que c'est un pharaon, que le (Ousmane Sonko) regarder même est un crime, le regarder même avec une certaine hauteur dans les yeux, est un crime, alors qu'il passe son temps à dire des choses extrêmement contestables, lui qui a passé son temps à contester la parole des autorités et des résultats d'élections qui ont été sanctionnés par me Conseil constitutionnel, c'est cas même pitoyable ».
Se prononçant sur leurs libérations intervenues une demi-heure auparavant, Thierno. Alassane Sall pense qu'ils n'auraient jamais dû être arrêtés. « On ne se rend même pas compte, il y a quelques pays au monde, où mettre en doute la parole d'un Chef de l'Etat peut être considéré comme un crime », a-t-il fustigé.
« Quand on est venu par la démocratie, quand on aura tout dit dans ce pays-là, quand on a proféré toutes sortes d'accusations, de malédictions, de paroles virulentes, arriver jusqu'à dire que contester les chiffres qu'il avance est une atteinte à l'Etat, c’est quand même incroyable », a-t-il dit à l'endroit des nouvelles autorités.
Pour Thierno Alassane Sall, même la science se nourrit de contradiction et de contestation, à fortiori la politique. « Dire que les chiffres qu'il a produits ne sont pas contestables, ça, c'est de la catastrophe », a conclu l'ancien ministre de l'Énergie et du Pétrole sous Macky Sall.
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