Tous les regards sont tournés à la fois vers la base militaire de La Carlota où le président Juan Guaido a appelé ses partisans à le soutenir et vers le palais présidentiel de Miraflores où doivent se rassembler les partisans du président Maduro. des coups de feu ont été entendus près de la base militaires, rapportent les agences de presse. Le ministre de la Communication, Jorge Rodriguez, a confirmé sur son compte twitter et dans un communiqué qu'une opération était en cours pour neutraliser un groupe de militaires « traîtres ». « Nous appelons le peuple à rester en état d'alerte maximum pour, aux côtés des glorieuses forces armées bolivariennes, déjouer la tentative de coup d'Etat et préserver la paix ».
Le président de l'Assemblée constituante Diosdado Cabello, un proche de Nicolas Maduro, appelle lui à soutenir les Vénézuéliens à lui manifester leur soutien en se rassemblant près du palais présidentiel. On ne sait pas pour l’instant si cette rébellion du groupe de militaires qui accompagne Guaido est généralisée. Si certains militaires ont été vus avec bandeaux bleus, près de la base militaire de la Carlota, en soutien à l’opposant, le ministre de l’armée, Vladimir Padrino, a lui réaffirmé son soutien à Nicolas Maduro.
Le gouvernement espagnol a été le premier à réagir, appelant à éviter toute effusion de sang, suivi par le président du Parlement européen, Antonio Tajani (issu du parti Forza Italia) qui célèbre un « moment historique » pour la « liberté ». La Colombie elle demande une réunion d'urgence du groupe de Lima.
Guaido et Lopez sur la base militaire de La Carlota
Les réseaux sociaux vénézuéliens et les médias d’opposition bruissaient de rumeurs depuis le petit matin.
Le dirigeant de l’opposition Leopoldo Lopez, qui était aux arrêts domiciliaires après une condamnation à 13 années de détention, aurait été libéré par un groupe d’opposants au régime de Nicolas Maduro, et à l’initiative de Juan Guaido, rapporte le quotidien El Pais. Une libération symbolique précise notre correspondant Benjamin Delille,parce que Leopoldo Lopez a de nombreuses fois précisé que le jour de sa sortie serait le jour du départ de Nicolas Maduro.
Le président de l'Assemblée constituante Diosdado Cabello, un proche de Nicolas Maduro, appelle lui à soutenir les Vénézuéliens à lui manifester leur soutien en se rassemblant près du palais présidentiel.
Le gouvernement espagnol a été le premier à réagir, appelant à éviter toute effusion de sang, suivi par le président du Parlement européen, Antonio Tajani (issu du parti Forza Italia) qui célèbre un « moment historique » pour la « liberté ». La Colombie elle demande une réunion d'urgence du groupe de Lima.
Guaido et Lopez sur la base militaire de La Carlota
Les réseaux sociaux vénézuéliens et les médias d’opposition bruissaient de rumeurs depuis le petit matin.
Le dirigeant de l’opposition Leopoldo Lopez, qui était aux arrêts domiciliaires après une condamnation à 13 années de détention, aurait été libéré par un groupe d’opposants au régime de Nicolas Maduro, et à l’initiative de Juan Guaido, rapporte le quotidien El Pais. Une libération symbolique précise notre correspondant Benjamin Delille,parce que Leopoldo Lopez a de nombreuses fois précisé que le jour de sa sortie serait le jour du départ de Nicolas Maduro.
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