L'information peut être inquiétante pour les malades du VIH. En cause, les thérapies antirétrovirales ne sont pas accessibles à toutes les personnes vivant avec le VIH. Et les chiffres le confirment. Car 30 sur les 39 millions malades dans le monde en bénéficient et la majorité réside en Afrique subsaharienne. Le réseau africain des praticiens luttant contre le Sida et les IST a lors d'une rencontre à Dakar a indiqué l'adoption et l'adaptation des recommandations thérapeutiques internationales. Le Sénégal naguère cité comme un bon exemple dans la lutte contre le Sida a vu son taux de prévalence baisser d'une façon encourageante.
Selon, le chef de la division de lutte contre le Sida et les IST au ministère de la santé, le professeur Cheikh Tidiane Ndour, la prévalence reste faible au niveau de la population générale. "On est à 0, 3% alors que ça va jusqu'à 25% chez les hommes qui ont des rapports sexuels avec d'autres hommes. On est aux alentours de 39 mille personnes vivant avec le VIH dont 90% sont sous traitement antirétroviral", informe-t-il.
Et le professeurs d'informer davantage, "quand on dit on a de bon résultats en matière de VIH, c'est que les nouveaux cas diminuent et les décès aussi. Encore, faut-il le rappeler, le VIH est le virus le moins transmissible. Les résultats qu'on observe actuellement sont liés au fait que les antirétroviraux (ARV ) sont devenus accessibles au grand nombre. Il y a donc une diminution progressive".
Le Sénégal, informe toujours, le professeur a vraiment fait des progrès. Car de 5000 mille nouveaux cas, le Sénégal en est à 900 actuellement. De l'avis de monsieur Ndour ces résultats découlent du respect des recommandations de manière globale.
Selon, le chef de la division de lutte contre le Sida et les IST au ministère de la santé, le professeur Cheikh Tidiane Ndour, la prévalence reste faible au niveau de la population générale. "On est à 0, 3% alors que ça va jusqu'à 25% chez les hommes qui ont des rapports sexuels avec d'autres hommes. On est aux alentours de 39 mille personnes vivant avec le VIH dont 90% sont sous traitement antirétroviral", informe-t-il.
Et le professeurs d'informer davantage, "quand on dit on a de bon résultats en matière de VIH, c'est que les nouveaux cas diminuent et les décès aussi. Encore, faut-il le rappeler, le VIH est le virus le moins transmissible. Les résultats qu'on observe actuellement sont liés au fait que les antirétroviraux (ARV ) sont devenus accessibles au grand nombre. Il y a donc une diminution progressive".
Le Sénégal, informe toujours, le professeur a vraiment fait des progrès. Car de 5000 mille nouveaux cas, le Sénégal en est à 900 actuellement. De l'avis de monsieur Ndour ces résultats découlent du respect des recommandations de manière globale.
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