L’association nationale des sages-femmes d’État du Sénégal (ANSFES) plaide pour l’instauration d’un Ordre de sage-femme. Bigué Bâ Mbodj, présidente de ladite association soutient que pour avoir une pratique et une qualité de soin, il faut des sages-femmes qui sont formées d’abord.
« Après la formation, il faut le réglementer et cette réglementation permet de savoir qui est sage-femme ou non car ayant été formée, fait ses examens et déclarées digne de porter le titre de sage-femme car ayant les compétences nécessaires et il nous faut cet ordre de réglementation de la profession et de savoir si le travail est fait correctement », dit-elle.
Mme Bigué indique qu’il y aura une sanction que ça soit positive ou négative. « Il faut un organe qui sera habilité à pouvoir apporter cette sanction négative. Ce sera un organe dépositaire prenant le relai de l’Etat pour la pratique de la fonction de sage-femme », declare -t-elle savoir.
Le but de ces journées scientifiques, selon elle est de partager les bonnes pratiques, se remettre en question et renforcer les compétences.
« Dans le programme de nos journées scientifiques, trois ateliers de renforcement de compétences avec délivrance de certificat axés sur le dépistage du cancer du col de l’utérus, la préparation à l’accouchement et la réanimation néonatale ont été tenus. »
A l’en croire, « le Sénégal a fait de très bons résultats dans la réduction de la mortalité maternelle mais celle néonatale reste encore un peu élevée. C’est pourquoi, nous avons pensé qu’il faut former les sage femmes venues des quatre coins du Sénégal pour que tous les nouveaux nés en besoin de prise en charge par la minute d’or, puissent avoir une vie saine et réduire ainsi la mortalité néonatale », souligne Mme Bigué Ba Mbodj.
« Après la formation, il faut le réglementer et cette réglementation permet de savoir qui est sage-femme ou non car ayant été formée, fait ses examens et déclarées digne de porter le titre de sage-femme car ayant les compétences nécessaires et il nous faut cet ordre de réglementation de la profession et de savoir si le travail est fait correctement », dit-elle.
Mme Bigué indique qu’il y aura une sanction que ça soit positive ou négative. « Il faut un organe qui sera habilité à pouvoir apporter cette sanction négative. Ce sera un organe dépositaire prenant le relai de l’Etat pour la pratique de la fonction de sage-femme », declare -t-elle savoir.
Le but de ces journées scientifiques, selon elle est de partager les bonnes pratiques, se remettre en question et renforcer les compétences.
« Dans le programme de nos journées scientifiques, trois ateliers de renforcement de compétences avec délivrance de certificat axés sur le dépistage du cancer du col de l’utérus, la préparation à l’accouchement et la réanimation néonatale ont été tenus. »
A l’en croire, « le Sénégal a fait de très bons résultats dans la réduction de la mortalité maternelle mais celle néonatale reste encore un peu élevée. C’est pourquoi, nous avons pensé qu’il faut former les sage femmes venues des quatre coins du Sénégal pour que tous les nouveaux nés en besoin de prise en charge par la minute d’or, puissent avoir une vie saine et réduire ainsi la mortalité néonatale », souligne Mme Bigué Ba Mbodj.
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