Dans un communiqué en date du lundi 25 septembre 2023, le gouvernement du Burkina Faso a annoncé la suspension jusqu’à nouvel ordre de tous les supports de diffusion de Jeune Afrique au Burkina Faso à compter de ce lundi 25 septembre 2023.
Cette décision du Burkina Faso fait suite des publications « mensongers » du journal dont la dernière en date publiée ce lundi 25 septembre 2023 avait pour titre « Au Burkina Faso, toujours des tensions au sein de l’armée », selon le gouvernement.
Pour le gouvernement, les affirmations de Jeune Afrique « faites sans l’ombre d’un début de preuve n’ont pour seul but que de jeter un discrédit inacceptable sur les Forces armées nationales et par-delà l’ensemble des forces combattantes qui se battent avec abnégation pour la souveraineté et la dignité de notre peuple sur la terre libre du Burkina ».
« Le devenir historique du Burkina Faso n’est pas tributaire des états d’âme de journalistes égarés et la cabale médiatique lancée contre notre pays et nos vaillantes forces de défense et de sécurité se heurte, pour le malheur de ses initiateurs et de leurs commanditaires, à la vigilance de notre peuple et du Gouvernement de Transition . (…) Le Gouvernement restera intraitable avec tout acteur médiatique qui mettra sa plume au service d’intérêts étrangers à ceux du peuple burkinabè. Il rassure les populations qu’il reste viscéralement attaché à la défense des intérêts vitaux de notre peuple et s’assumera chaque fois que l’intérêt supérieur de la Nation le commande », lit-on dans le communiqué signé du ministre porte-parole du Gouvernement, Jean-Emmanuel Ouédraogo.
Cette décision du Burkina Faso fait suite des publications « mensongers » du journal dont la dernière en date publiée ce lundi 25 septembre 2023 avait pour titre « Au Burkina Faso, toujours des tensions au sein de l’armée », selon le gouvernement.
Pour le gouvernement, les affirmations de Jeune Afrique « faites sans l’ombre d’un début de preuve n’ont pour seul but que de jeter un discrédit inacceptable sur les Forces armées nationales et par-delà l’ensemble des forces combattantes qui se battent avec abnégation pour la souveraineté et la dignité de notre peuple sur la terre libre du Burkina ».
« Le devenir historique du Burkina Faso n’est pas tributaire des états d’âme de journalistes égarés et la cabale médiatique lancée contre notre pays et nos vaillantes forces de défense et de sécurité se heurte, pour le malheur de ses initiateurs et de leurs commanditaires, à la vigilance de notre peuple et du Gouvernement de Transition . (…) Le Gouvernement restera intraitable avec tout acteur médiatique qui mettra sa plume au service d’intérêts étrangers à ceux du peuple burkinabè. Il rassure les populations qu’il reste viscéralement attaché à la défense des intérêts vitaux de notre peuple et s’assumera chaque fois que l’intérêt supérieur de la Nation le commande », lit-on dans le communiqué signé du ministre porte-parole du Gouvernement, Jean-Emmanuel Ouédraogo.
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