L'Union Nationale des Photojournalistes du Sénégal (UNPJS) a présenté le rapport de ses activités et son bilan financier lors d’une Assemblée Générale ordinaire tenue samedi à Dakar. Son président sortant Mamadou Seyllou Diallo se dit fier de son bilan et soutient qu'il n'a aucune reproche à se faire.
« Nous venons de passer une journée pour renouveler nos instances. L’union à l’image de toutes les institutions a été confrontée à la résilience liée à la Covid-19. Cependant, vous pouvez être rassuré que malgré les innombrables difficultés et les nombreuses péripéties pour tenir l’assemblée générale à temps, le bureau sous ma présidence a fait un excellent travail. Beaucoup d'idées se sont dégagées pour la bonne marche de notre profession. Et ce que j'attends du nouveau bureau, c'est de continuer les chantiers que nous avons engagé. Et à mon avis, je n'ai aucun reproche à me faire. Je suis fier de mon bilan. J'ai laissé de l'argent dans les caisses, je n'ai mangé aucun centime », a déclaré Mamadou Seyllou Diallo, Président sortant de l’UNPJS.
Sur le bilan, le membre permanent du tribunal des pairs soutient que son bilan est logé : « Quand je venais à la tête de l’UNPJS, il n'y avait rien, pas de local. Mais aujourd'hui Dieu merci, nous avons pu obtenir un local équipé à la maison de la presse. Ce qui nous a permis de travailler. Autre chose sur le bilan, nous avons créé des formations. Il y a encore de l'argent dans la caisse ».
Par ailleurs, M. Diallo précise qu'il y a des changements par rapport au mandat. « Les mandats vont être changés. C'était des mandats de deux (2) ans. Nous sommes dans les mandats de quatre (4) ans. Avant le président était élu pour 2 ans, maintenant le président est élu pour 4 ans renouvelables une seule fois. Le nombre de membres n'a pas changé, c'est le nombre du comité directeur qui a changé. Nous étions 20 membres, on se retrouve à 15 membres. Ce qui a motivé cela, ce sont les nombreux absentéismes », note Mamadou Seyllou Diallo.
Interpellé sur la responsabilité du Photojournaliste dans les zones de conflit, il précise qu’il ne faut pas se leurrer. Pour lui, ce qu'il faut, c'est la formation. « Il faut toujours se former. Moi j'ai toujours la chance de couvrir les conflits en Afrique. J'ai couvert toutes les guerres au Congo Brazzaville, Liberia, Sierra-Leone, Mali. Au Congo Zaïre, j'étais là-bas au temps de Kabila père et Kabila fils. Pour moi le but de cette association, c'est la formation », dit-il.
« Nous venons de passer une journée pour renouveler nos instances. L’union à l’image de toutes les institutions a été confrontée à la résilience liée à la Covid-19. Cependant, vous pouvez être rassuré que malgré les innombrables difficultés et les nombreuses péripéties pour tenir l’assemblée générale à temps, le bureau sous ma présidence a fait un excellent travail. Beaucoup d'idées se sont dégagées pour la bonne marche de notre profession. Et ce que j'attends du nouveau bureau, c'est de continuer les chantiers que nous avons engagé. Et à mon avis, je n'ai aucun reproche à me faire. Je suis fier de mon bilan. J'ai laissé de l'argent dans les caisses, je n'ai mangé aucun centime », a déclaré Mamadou Seyllou Diallo, Président sortant de l’UNPJS.
Sur le bilan, le membre permanent du tribunal des pairs soutient que son bilan est logé : « Quand je venais à la tête de l’UNPJS, il n'y avait rien, pas de local. Mais aujourd'hui Dieu merci, nous avons pu obtenir un local équipé à la maison de la presse. Ce qui nous a permis de travailler. Autre chose sur le bilan, nous avons créé des formations. Il y a encore de l'argent dans la caisse ».
Par ailleurs, M. Diallo précise qu'il y a des changements par rapport au mandat. « Les mandats vont être changés. C'était des mandats de deux (2) ans. Nous sommes dans les mandats de quatre (4) ans. Avant le président était élu pour 2 ans, maintenant le président est élu pour 4 ans renouvelables une seule fois. Le nombre de membres n'a pas changé, c'est le nombre du comité directeur qui a changé. Nous étions 20 membres, on se retrouve à 15 membres. Ce qui a motivé cela, ce sont les nombreux absentéismes », note Mamadou Seyllou Diallo.
Interpellé sur la responsabilité du Photojournaliste dans les zones de conflit, il précise qu’il ne faut pas se leurrer. Pour lui, ce qu'il faut, c'est la formation. « Il faut toujours se former. Moi j'ai toujours la chance de couvrir les conflits en Afrique. J'ai couvert toutes les guerres au Congo Brazzaville, Liberia, Sierra-Leone, Mali. Au Congo Zaïre, j'étais là-bas au temps de Kabila père et Kabila fils. Pour moi le but de cette association, c'est la formation », dit-il.
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