Dans la salle de conférence d’un hôtel de la place. Il est 16 heures. Plutôt, à l’entrée souffle une faible brise. A l’intérieur, les langues se délient. L’ambiance est bon enfant. Deux tables disposées en bureau pour la circonstance. Mayoro Faye, Sérigne Guèye Diop, maire de Sandiara et d’autres se chargent de la rédaction des recommandations. Tantôt, d’un air taquin l’on chahute. L’ancienne ministre du commerce, Aminata Assome Diatta donne alors son avis sur le contenu. Ne pouvant plus continuer sous l’effet de la fatigue. « Je vais aller reprendre mes aises de l’autre côté », avise-t-elle. Mayora Faye encore, en boute entrain, balance, « ah tu es certainement fatiguée ». Le tout en Wolof.
Dans la foulée, débarquent les journalistes. Alors, la rencontre reprend ses airs solennels. Autour d’une table s’alignent les conférenciers du jour. Les objectifs des caméras bien vissés et visés sur eux, micro bien disposés. Débute alors, une litanie de justification sur les raisons d’aller au dialogue. Comme pour faire honneur aux dames. Aminata Assome Diatta, d’une voix assurée, informe, « nous saluons le dialogue convoqué demain et après -demain. Nous avons besoin de dialoguer. Car le processus tel que conduit ne pouvait pas aboutir à une élection présidentielle crédible". Un bout de phrase qui en dit long sur l’état d’esprit des candidats spoliés. Ces derniers ont toujours crié à qui veut les entendre. La seule issue de mettre tous sur le même pied. C’est de reprendre tout le processus. Aujourd’hui, encore dans leur lieu de réflexion, ils ont réitéré ce sempiternel besoin de reprendre tout le processus. Cette fois-ci par la voix de l’avocat Amadou Ali Kane. Ce dernier dans sa « plaidoirie » a beaucoup puisé dans la loi fondamentale. Reprenant d’une manière laconique des articles de la Constitution, justifiant au passage leur réhabilitation.
Auparavant, Cheikh Bara Doli, dans la version Wolof a confirmé les propos de madame Diatta. Toutes les versions ont eu l’acquiescement des autres camarades.
A bâtons rompus avec les journalistes, les réponses ont été tranchées. Puisque les interrogations portaient, notamment sur la participation au dialogue national. Et les arguments n’ont pas manqué. Mais, le plus valable à leurs yeux reste leur réhabilitation. Car, eux estiment être spoliés de leur droit de participation à l’élection présidentielle. Et même, ajoute l’avocat Me Kane, « le processus prend fin aujourd’hui. A la date d’aujourd’hui, il y a plus de candidats. Le processus s’arrête aujourd’hui ». Il l'a répété encore et encore, avant de lever la séance.
Dans la foulée, débarquent les journalistes. Alors, la rencontre reprend ses airs solennels. Autour d’une table s’alignent les conférenciers du jour. Les objectifs des caméras bien vissés et visés sur eux, micro bien disposés. Débute alors, une litanie de justification sur les raisons d’aller au dialogue. Comme pour faire honneur aux dames. Aminata Assome Diatta, d’une voix assurée, informe, « nous saluons le dialogue convoqué demain et après -demain. Nous avons besoin de dialoguer. Car le processus tel que conduit ne pouvait pas aboutir à une élection présidentielle crédible". Un bout de phrase qui en dit long sur l’état d’esprit des candidats spoliés. Ces derniers ont toujours crié à qui veut les entendre. La seule issue de mettre tous sur le même pied. C’est de reprendre tout le processus. Aujourd’hui, encore dans leur lieu de réflexion, ils ont réitéré ce sempiternel besoin de reprendre tout le processus. Cette fois-ci par la voix de l’avocat Amadou Ali Kane. Ce dernier dans sa « plaidoirie » a beaucoup puisé dans la loi fondamentale. Reprenant d’une manière laconique des articles de la Constitution, justifiant au passage leur réhabilitation.
Auparavant, Cheikh Bara Doli, dans la version Wolof a confirmé les propos de madame Diatta. Toutes les versions ont eu l’acquiescement des autres camarades.
A bâtons rompus avec les journalistes, les réponses ont été tranchées. Puisque les interrogations portaient, notamment sur la participation au dialogue national. Et les arguments n’ont pas manqué. Mais, le plus valable à leurs yeux reste leur réhabilitation. Car, eux estiment être spoliés de leur droit de participation à l’élection présidentielle. Et même, ajoute l’avocat Me Kane, « le processus prend fin aujourd’hui. A la date d’aujourd’hui, il y a plus de candidats. Le processus s’arrête aujourd’hui ». Il l'a répété encore et encore, avant de lever la séance.
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