La surexploitation demeure un véritable casse-tête pour l’Organisation internationale Greenpeace. En publiant, ce vendredi 30septembre, son rapport sur la surpêche et le changement climatique en Afrique de l’Ouest, intitulé «des filets vides, un futur compromis», cette organisation «dénonce la présence de plus en plus fréquente des flottes de l’Europe et de l’Extrême Orient». Dans ce document repris par le journal l’As, Greenpeace rappelle que: ces flottes sont «formées de chalutiers de plus en plus grands et de plus en plus destructeurs, qui sont en train d’épuiser les zones de pêche de l’Afrique de l’Ouest». Selon elle, ces chalutiers pillent nos eaux en toute illégalité. Ils ne pensent même pas «aux conséquences» de cette surexploitation. Ces navires sont «aidés et encouragés en cela par certains gouvernement qui bradent les droits de leurs compatriotes» regrette Greenpeace avant de faire savoir que: «cette pêche illégale, non rapportée et non régulée (Inn), coûte à l’Afrique de l’Ouest environ 500 milliards de francs CFA par an».
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