Le collectif des impactés des travaux de l’autopont Front de terre est sorti du mutisme pour faire part des problèmes auxquels les membres sont confrontés à cause du chantier de l'Autopont du Front de Terre. Lundi face à la presse, ils exigent l'indemnisation de tous les impactés et dénoncent le non-respect des promesses tenues par le ministre des Transports terrestres Mansour Faye.
''Nous avons convié à ce point de presse pour faire-part au peuple sénégalais des problèmes que nous vivons au niveau du Front de Terre. Ces problèmes se résument en quelque sorte à un chantier qui se déroule ici sur une distance de 450 m ou sur les deux côtés, on a que le commerce, le busIness, les PM, qui sont aujourd'hui dans d'énormes difficultés. Toutes les boutiques sont en train de fermer. Pour dire tout simplement qu'il y a des engagements qui n'ont pas été pris par le Ministère du Transport terrestre et du désenclavement. Notamment sur les dédommagements. Pour vous dire que les Sénégalais souffrent dans cette zone. Parce qu'il y a un chantier qui est en train de se réaliser ici alors qu'il n'était pas fait pour cette zone'', a déclaré Birama Sall membre du collectif des impactés de Front de Terre.
Abondant dans le même sens, Mme Marieme Faye membre du collectif soutient: ''Les problèmes que nous avons, c'est le problème de déchargement de conteneurs. L'autre problème est que personne ne peut plus garer son véhicule devant sa maison à cause du chantier. Autre chose, nous n'avons plus de visibilité. Parce qu'on exposait devant nos magasins. Cela n'existe plus. Et nous savons qu'il y a trop d'insécurité dans cette ville. Ce que nous voulons nous, les impactés de Front de Terre, que le Ministre nous aident à trouver une solution à nos problèmes. Nous dédommager le plus rapidement possible. Il y a 54 boutiques qui sont au chômage.
''Nous avons convié à ce point de presse pour faire-part au peuple sénégalais des problèmes que nous vivons au niveau du Front de Terre. Ces problèmes se résument en quelque sorte à un chantier qui se déroule ici sur une distance de 450 m ou sur les deux côtés, on a que le commerce, le busIness, les PM, qui sont aujourd'hui dans d'énormes difficultés. Toutes les boutiques sont en train de fermer. Pour dire tout simplement qu'il y a des engagements qui n'ont pas été pris par le Ministère du Transport terrestre et du désenclavement. Notamment sur les dédommagements. Pour vous dire que les Sénégalais souffrent dans cette zone. Parce qu'il y a un chantier qui est en train de se réaliser ici alors qu'il n'était pas fait pour cette zone'', a déclaré Birama Sall membre du collectif des impactés de Front de Terre.
Abondant dans le même sens, Mme Marieme Faye membre du collectif soutient: ''Les problèmes que nous avons, c'est le problème de déchargement de conteneurs. L'autre problème est que personne ne peut plus garer son véhicule devant sa maison à cause du chantier. Autre chose, nous n'avons plus de visibilité. Parce qu'on exposait devant nos magasins. Cela n'existe plus. Et nous savons qu'il y a trop d'insécurité dans cette ville. Ce que nous voulons nous, les impactés de Front de Terre, que le Ministre nous aident à trouver une solution à nos problèmes. Nous dédommager le plus rapidement possible. Il y a 54 boutiques qui sont au chômage.
Autres articles
-
Fatou Diome lauréate du Prix 2024 de la Coalition française pour la diversité culturelle
-
Grève des internes des hôpitaux : l’AIAIHS exige des réformes sur les conditions de travail et l’insertion professionnelle
-
Vente des actes d'état civil de Sénégalais à des étrangers : Balla Moussa Fofana dément Tahirou Sarr
-
Menace de diffusion de vidéos intimes : d'ex copain à maître chanteur, Mohamed Seck condamné à 2 mois de prison ferme
-
Mbour : plus de 12 000 cartes d’électeur non encore retirées (préfet)