Voici que le Sénégal, unique pays de l'Afrique de l'ouest à ne pas être victime de Coup d'Etat militaire, vient de subir un Coup d'Etat civil. Qui a réellement mis le pouvoir par terre.
Mais comme tous les Coups d'Etat il avait besoin d'un exposé des motifs.
C'est alors que l'histoire s'est remise à bégayer.
Les Anglais ont créé, jadis, il y a de cela près de trois siècles, la toute première Senegambie coloniale dont Richard Toll était l'une des cités. Avec un rôle central joué à Saint Louis où se trouvaient les blockhaus (Balacoss).
Les Anglais reviennent à la charge par la BBC et autres BP interposées. Il s'agit de la part du lion britannique par rapport aux proies saheliennes. Jusque là tout est en ordre.
Le lion britannique mange et rugit à l'Anglaise pour faire s'éloigne ses concurrents, y compris les hyènes et les chacals.
Mais le problème ici est plus grave car il y a eu cette bande de trois qui a joué un rôle abominable que l'histoire a confié au cheval de Troie. C'est à dire à Troyes. Cette fois-ci c'est trois cités qui sont concernées.
# Saint Louis offshore profond
# Kayar offshore profond
# Dakar on shore, c'est à dire le Palais Présidentiel.
Les trois se sont même transformés en comédiens pour se montrer au grand jour. En jouant le rôle abominable de fossoyeurs de la nation. Atteignant notre pays aussi bien dans ses intérêts que dans sa réputation.
De combien de temps notre pays a besoin pour recouvrer son honneur et sa réputation ?
Pour renflouer ses caisses dont les providers ont été effrayés par l'apparirition de ces trois diablons qui ont vraiment réussi à l'apprenti pyromane.
La question n'est pas de savoir ce que le Chinois a fait de ses actions dans la société de Franck Timis. C'est à dire à combien a-t-il revendu son mafe acheté à vil prix à de riches affamés ? Pour faire des dividendes o combien faramineuses?
Mais ramener l'affaire à une entente familiale dans le cadre d'une fratrie n'est qu'une insulte multipliée par quinze millions pour chacun de nous autres Sénégalais.
Car, à la question le Président Macky Sall a-t-il signé d'autres dossiers dans des cas similaires, la réponse est oui.
À la question le Président pouvait-il refuser de signer le dossier de Timis, quel que soit l'agent porteur du parapheur ? La réponse est non.
Déjà Macky n'avait-il pas interdit la fonction publique à son cadet ?
Pouvait-il, alors, lui interdire un emploi chez un privé inconnu ?
Si Total BP, Chevron étaient les sociétés représentées par Aliou, tel que je connais le Président, celui-ci aurait certainement hésité.
Mais c'est parce que Timis était si maigrichon que l'on aurait simplement souri en signant. Parce que sachant que leur surface financière ne leur permettrait même pas de couvrir la phase dite sismique. Et devant laquelle beaucoup pataugent encore.
C'est pourquoi dès cette phase de la signature présidentielle franchie que le génie propre à la Pologne associé à la dextérité du Chinois ont fait boum chez les Anglais. Permettant à la City qui mise jusque sur le derby de se dire que c'est bon à prendre.
Surtout que le Tout était assorti d'un certificat de non objection de la fameuse Lloyd, Assureur devant le Seigneur. Allant du risque de dégâts provoqués par les souris aux grands séismes et autres tsunamis. Alors qu'ici, sous nos 47 degrés à l'ombre 55 sous le soleil notre esprit fait tilt. Allant jusqu'à se tromper sur le vrai destinataire des fameux 6000 milliards de nos CFA à encaisser dans 40 ans. Lorsque personne parmi nous ne sera là. Alors qu'il ne s'agit que d'un jeu de flegme britannique à la Térésa May. Où l'on vote un référendum brexitaire bloqué aussitôt par un vote du Parlement britannique non brexitaire.
En d'autres termes ni Macky, ni son frère ne sont bénéficiaires de l'opération à priori. Ils sont entièrement exclus de l'opération à posteriori aussi.
Toutefois le Président Macky Sall qu'on essaie de déstabiliser continue de détenir une épée de Damoclés suspendue au dessus des têtes des Britanniques.
En effet, dans le délai des 36 mois nécessaires pour que le gaz puisse être à bord des methaniers le Président pourra faire les ajustements pour renverser les choses. Pour distribuer les dégâts, c'est à dire les pertes, entre BP, Lloyd et autres qui auront misé sur notre épargne . Par une série d'actions dévolues à Petrosen et au COS..
Les trois traîtres ont servi les Britanniques de bêtes de somme.
AB comme Abdoul Mbaye
SO pour Sonko
M pour Mamadou Lamine Diallo.
Il ne s'agit pas ici de contester à l'opposition son droit de dribbler les meneurs mais celui de marquer par une balle tenue par les deux mains. Car cela n'est pas footballistique.
Le rôle de la Justice dans la déstabilisation d'un pays consiste à sanctionner les fauteurs de troubles.
Le limogeage du DG de la CDC a bien été demandé. Et celui de la Première Dame de sa Première Damité.
C'est bien le sens du mot prononcé par Monsieur Moustapha Niass, Président de l'Assemblée Nationale lors du lancement du Dialogue . Emprunté à la Bible et dont le sens en bon Français est le suivant:"Restez avec nous. Il se fait tard. La nuit descend sur le monde"
Par Ahmed Khalifa Niasse
Mais comme tous les Coups d'Etat il avait besoin d'un exposé des motifs.
C'est alors que l'histoire s'est remise à bégayer.
Les Anglais ont créé, jadis, il y a de cela près de trois siècles, la toute première Senegambie coloniale dont Richard Toll était l'une des cités. Avec un rôle central joué à Saint Louis où se trouvaient les blockhaus (Balacoss).
Les Anglais reviennent à la charge par la BBC et autres BP interposées. Il s'agit de la part du lion britannique par rapport aux proies saheliennes. Jusque là tout est en ordre.
Le lion britannique mange et rugit à l'Anglaise pour faire s'éloigne ses concurrents, y compris les hyènes et les chacals.
Mais le problème ici est plus grave car il y a eu cette bande de trois qui a joué un rôle abominable que l'histoire a confié au cheval de Troie. C'est à dire à Troyes. Cette fois-ci c'est trois cités qui sont concernées.
# Saint Louis offshore profond
# Kayar offshore profond
# Dakar on shore, c'est à dire le Palais Présidentiel.
Les trois se sont même transformés en comédiens pour se montrer au grand jour. En jouant le rôle abominable de fossoyeurs de la nation. Atteignant notre pays aussi bien dans ses intérêts que dans sa réputation.
De combien de temps notre pays a besoin pour recouvrer son honneur et sa réputation ?
Pour renflouer ses caisses dont les providers ont été effrayés par l'apparirition de ces trois diablons qui ont vraiment réussi à l'apprenti pyromane.
La question n'est pas de savoir ce que le Chinois a fait de ses actions dans la société de Franck Timis. C'est à dire à combien a-t-il revendu son mafe acheté à vil prix à de riches affamés ? Pour faire des dividendes o combien faramineuses?
Mais ramener l'affaire à une entente familiale dans le cadre d'une fratrie n'est qu'une insulte multipliée par quinze millions pour chacun de nous autres Sénégalais.
Car, à la question le Président Macky Sall a-t-il signé d'autres dossiers dans des cas similaires, la réponse est oui.
À la question le Président pouvait-il refuser de signer le dossier de Timis, quel que soit l'agent porteur du parapheur ? La réponse est non.
Déjà Macky n'avait-il pas interdit la fonction publique à son cadet ?
Pouvait-il, alors, lui interdire un emploi chez un privé inconnu ?
Si Total BP, Chevron étaient les sociétés représentées par Aliou, tel que je connais le Président, celui-ci aurait certainement hésité.
Mais c'est parce que Timis était si maigrichon que l'on aurait simplement souri en signant. Parce que sachant que leur surface financière ne leur permettrait même pas de couvrir la phase dite sismique. Et devant laquelle beaucoup pataugent encore.
C'est pourquoi dès cette phase de la signature présidentielle franchie que le génie propre à la Pologne associé à la dextérité du Chinois ont fait boum chez les Anglais. Permettant à la City qui mise jusque sur le derby de se dire que c'est bon à prendre.
Surtout que le Tout était assorti d'un certificat de non objection de la fameuse Lloyd, Assureur devant le Seigneur. Allant du risque de dégâts provoqués par les souris aux grands séismes et autres tsunamis. Alors qu'ici, sous nos 47 degrés à l'ombre 55 sous le soleil notre esprit fait tilt. Allant jusqu'à se tromper sur le vrai destinataire des fameux 6000 milliards de nos CFA à encaisser dans 40 ans. Lorsque personne parmi nous ne sera là. Alors qu'il ne s'agit que d'un jeu de flegme britannique à la Térésa May. Où l'on vote un référendum brexitaire bloqué aussitôt par un vote du Parlement britannique non brexitaire.
En d'autres termes ni Macky, ni son frère ne sont bénéficiaires de l'opération à priori. Ils sont entièrement exclus de l'opération à posteriori aussi.
Toutefois le Président Macky Sall qu'on essaie de déstabiliser continue de détenir une épée de Damoclés suspendue au dessus des têtes des Britanniques.
En effet, dans le délai des 36 mois nécessaires pour que le gaz puisse être à bord des methaniers le Président pourra faire les ajustements pour renverser les choses. Pour distribuer les dégâts, c'est à dire les pertes, entre BP, Lloyd et autres qui auront misé sur notre épargne . Par une série d'actions dévolues à Petrosen et au COS..
Les trois traîtres ont servi les Britanniques de bêtes de somme.
AB comme Abdoul Mbaye
SO pour Sonko
M pour Mamadou Lamine Diallo.
Il ne s'agit pas ici de contester à l'opposition son droit de dribbler les meneurs mais celui de marquer par une balle tenue par les deux mains. Car cela n'est pas footballistique.
Le rôle de la Justice dans la déstabilisation d'un pays consiste à sanctionner les fauteurs de troubles.
Le limogeage du DG de la CDC a bien été demandé. Et celui de la Première Dame de sa Première Damité.
C'est bien le sens du mot prononcé par Monsieur Moustapha Niass, Président de l'Assemblée Nationale lors du lancement du Dialogue . Emprunté à la Bible et dont le sens en bon Français est le suivant:"Restez avec nous. Il se fait tard. La nuit descend sur le monde"
Par Ahmed Khalifa Niasse
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24