La commission Administrative du Syndicat autonome des Enseignants du Moyen Secondaire du Sénégal (SAEMSS) s'est réunie ce samedi à Dakar pour réfléchir sur les stratégies pour la transformation de l'école sénégalaise. Selon son secrétaire générale national El Hadji Malick Youm, cette 3e alternance politique au Sénégal est une occasion pour eux de se retrouver, discuter des questions de l’éducation. Il constate que depuis les états généraux de 1981, le Sénégal n’a pas atteint les objectifs qui lui ont été consignés.
« Nous avons traversé une période extrêmement difficile pour le secteur de l’éducation qui a été marquée par des crises et des déficits dans le secteur de l’éducation. Nous avons saisi l’occasion pour la tenue de la réunion de la commission ordinaire administrative de notre syndicat pour aborder la réflexion autour des questions importantes relative au devenir de notre école, l’école sénégalaise. Depuis les états généraux de 1981, les assises nationales de 2014, nous constatons tous que nous n’avons pas aujourd’hui atteint les objectifs qui nous étaient consignés », a déclaré El Hadji Malick Youm secrétaire générale national du Saemss.
Suffisant pour le syndicaliste après la survenue de la 3e alternance politique au Sénégal, d’impulser la réflexion autour du devenir de l’école sénégalaise. Qui pour eux sera un moment de « bilan pour passer en revue, faire une radioscopie de notre système éducatif voir tous les maux, mais l’approche la plus important sera d’aller vers une approche solution pour prendre en charge le plus rapidement possible le passif des accords qui tourne autour des points importants qui plombent la carrière des enseignants ».
Poursuivant ses propos, M. Youm a précisé que se sera pour eux, « un moment de solution, de proposition de solutions structurelles pour la prise en charge des questions relatives à ce qu’on appelle les lenteurs administratives, surtout pour la question des décisionnaires. Une question lancinante que le régime précédant a laissée ici et que le régime entrant a l’obligation de prendre en charge a travers une stratégie efficace et efficiente et dans les meilleurs délais. Et au-delà même l’objectif qu’ils visent, la refondation de notre école ».
Pour El Hadji Malick Youm, « il y a des opportunités à saisir et le syndicalisme est un mouvement important et qui doit aujourd’hui, se positionner par rapport à la réforme qui est attendue dans cette école-là. C’est dans ce sens que le Saemss est venu vers cette nouvelle offre là synthétisé dans un document appelé PTEF (Pacte pour la transformation de l’éducation et la formation). Qui a procédé en profondeur du Système éducatif à déceler tous les maux du système éducatif au Sénégal ».
« Nous avons traversé une période extrêmement difficile pour le secteur de l’éducation qui a été marquée par des crises et des déficits dans le secteur de l’éducation. Nous avons saisi l’occasion pour la tenue de la réunion de la commission ordinaire administrative de notre syndicat pour aborder la réflexion autour des questions importantes relative au devenir de notre école, l’école sénégalaise. Depuis les états généraux de 1981, les assises nationales de 2014, nous constatons tous que nous n’avons pas aujourd’hui atteint les objectifs qui nous étaient consignés », a déclaré El Hadji Malick Youm secrétaire générale national du Saemss.
Suffisant pour le syndicaliste après la survenue de la 3e alternance politique au Sénégal, d’impulser la réflexion autour du devenir de l’école sénégalaise. Qui pour eux sera un moment de « bilan pour passer en revue, faire une radioscopie de notre système éducatif voir tous les maux, mais l’approche la plus important sera d’aller vers une approche solution pour prendre en charge le plus rapidement possible le passif des accords qui tourne autour des points importants qui plombent la carrière des enseignants ».
Poursuivant ses propos, M. Youm a précisé que se sera pour eux, « un moment de solution, de proposition de solutions structurelles pour la prise en charge des questions relatives à ce qu’on appelle les lenteurs administratives, surtout pour la question des décisionnaires. Une question lancinante que le régime précédant a laissée ici et que le régime entrant a l’obligation de prendre en charge a travers une stratégie efficace et efficiente et dans les meilleurs délais. Et au-delà même l’objectif qu’ils visent, la refondation de notre école ».
Pour El Hadji Malick Youm, « il y a des opportunités à saisir et le syndicalisme est un mouvement important et qui doit aujourd’hui, se positionner par rapport à la réforme qui est attendue dans cette école-là. C’est dans ce sens que le Saemss est venu vers cette nouvelle offre là synthétisé dans un document appelé PTEF (Pacte pour la transformation de l’éducation et la formation). Qui a procédé en profondeur du Système éducatif à déceler tous les maux du système éducatif au Sénégal ».
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