Les étudiants des Centre régionales de formation en santé (CRFS) et de l’École Nationale de Développement Sanitaire et Social (ENDSS) ont effectué une sortie pour exigent la reprise immédiate des cours dans les établissements publics. Ils comptent maintenir leur mouvement d’humeur jusqu'à la satisfaction de leurs requêtes.
« Nos cours et stages ont été suspendus. On a tendance à dire que c’est dans les moments difficiles qu’on se rend compte qui tient à nous. C‘est dans ces moments que nous nous sommes rendu compte que le minière de la santé et l’action social ne tient pas à ses étudiants. Pourquoi nous le soutenons, parce que là où l’enseignement général a repris avec des effectifs pléthoriques. On ne voir pas de prétexte pour que l’établissement public ne puisse pas reprendre les cours. Nous formons de salle dont les effectifs ne dépassent jamais 15. Pour la plupart du temps au maximum 10 voir 11 avec des salles très larges», soutient Pape Joseph Sy leur porte-parole.
Selon lui, s’il s’agissait seulement des mesures barrières, le lavage des mains, la distanciation sociale, le port de masque, sont des choses qu’on nous apprenne depuis la première année. « Donc des étudiants infirmière et sage femme en 3e année, s’ils ne peuvent pas respecter ces mesures-là, donc je ne pense pas que des élèves de primaire, et de terminal puissent respecter ces mesures. Ça, c’est le premier point. Et le deuxième point aussi, c’est que les examens de pratiques de nos aînés, qui n’ont pas toujours passé leur pratique. Il est mieux de saisir l’occasion de mettre ces étudiants dans des situations réelles », dit-il.
« Nos cours et stages ont été suspendus. On a tendance à dire que c’est dans les moments difficiles qu’on se rend compte qui tient à nous. C‘est dans ces moments que nous nous sommes rendu compte que le minière de la santé et l’action social ne tient pas à ses étudiants. Pourquoi nous le soutenons, parce que là où l’enseignement général a repris avec des effectifs pléthoriques. On ne voir pas de prétexte pour que l’établissement public ne puisse pas reprendre les cours. Nous formons de salle dont les effectifs ne dépassent jamais 15. Pour la plupart du temps au maximum 10 voir 11 avec des salles très larges», soutient Pape Joseph Sy leur porte-parole.
Selon lui, s’il s’agissait seulement des mesures barrières, le lavage des mains, la distanciation sociale, le port de masque, sont des choses qu’on nous apprenne depuis la première année. « Donc des étudiants infirmière et sage femme en 3e année, s’ils ne peuvent pas respecter ces mesures-là, donc je ne pense pas que des élèves de primaire, et de terminal puissent respecter ces mesures. Ça, c’est le premier point. Et le deuxième point aussi, c’est que les examens de pratiques de nos aînés, qui n’ont pas toujours passé leur pratique. Il est mieux de saisir l’occasion de mettre ces étudiants dans des situations réelles », dit-il.
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