La gestion budgétaire s’est traduite par une exécution soutenue des dépenses publiques et une hausse modérée des ressources au terme des quatre (4) premières mois de 2019. 719,8 milliards de ressources et dons mobilisés à fin avril 2019 contre 673,1 milliards un an auparavant. Soit une hausse de 6,9% qui reflète l’augmentation des recettes budgétaires, partiellement contrebalancée par le repli des dons selon le point mensuel de conjoncture.
Les dépenses sont évaluées à 1220 à fin avril 2019, se renforçant de 26,3% par rapport à la même période un an auparavant. Au total, le sol budgétaire, dons compris, est évalué en déficit de 500,2 milliards F CFA à fin avril 2019, contre 292,8 milliards un an plus tôt.
Les ressources sont constituées de recettes budgétaires à hauteur de 680,7 milliards et de dons pour 39,1 milliards. En glissement annuel, elles ont progressé de 46,7 milliards, en liaison avec les recettes budgétaires. S’agissant des dons, ils ont, pour leur part, diminué de 14,4 milliards pour se situer à 39,1 milliards à fin avril 2019. La progression des recettes budgétaires est, principalement, attribuable à leur composante fiscale qui s’est confortée de 12,6%, à la fois portée par les impôts indirects et directs.
Toutefois, la bonne orientation des recettes budgétaires a été atténuée par les replis respectifs des recouvrements de la TVA intérieure hors pétrole et des dividendes. Les dépenses budgétaires sont, quant à elles, évaluées à 1220 milliards à fin avril 2019 contre 965,9 milliards un an auparavant, soit une progression de 254,1 milliards, imputable aux augmentations simultanées de leurs composantes courantes et en capital.
Pour ce qui est des dépenses courantes, elles sont estimées à 722 milliards. Celles-ci ont progressé de 142,2 milliards en liaison avec la masse salariale, les charges de fonctionnement et les intérêts sur la dette publique qui ont respectivement crû de 16,3%, 25,7% et 39,3%.
Quant à l’augmentation des charges de fonctionnement, elle est liée à l’organisation des élections de février 2019 et aux transferts et subventions. Pour sa part, l’accroissement des charges d’intérêt traduit l’échéance de l’Eurobond. Concernant les dépenses en capital, elles sont, à la fois, portées par les investissements sur ressources intérieures et extérieures qui se sont accrus.
Les dépenses sont évaluées à 1220 à fin avril 2019, se renforçant de 26,3% par rapport à la même période un an auparavant. Au total, le sol budgétaire, dons compris, est évalué en déficit de 500,2 milliards F CFA à fin avril 2019, contre 292,8 milliards un an plus tôt.
Les ressources sont constituées de recettes budgétaires à hauteur de 680,7 milliards et de dons pour 39,1 milliards. En glissement annuel, elles ont progressé de 46,7 milliards, en liaison avec les recettes budgétaires. S’agissant des dons, ils ont, pour leur part, diminué de 14,4 milliards pour se situer à 39,1 milliards à fin avril 2019. La progression des recettes budgétaires est, principalement, attribuable à leur composante fiscale qui s’est confortée de 12,6%, à la fois portée par les impôts indirects et directs.
Toutefois, la bonne orientation des recettes budgétaires a été atténuée par les replis respectifs des recouvrements de la TVA intérieure hors pétrole et des dividendes. Les dépenses budgétaires sont, quant à elles, évaluées à 1220 milliards à fin avril 2019 contre 965,9 milliards un an auparavant, soit une progression de 254,1 milliards, imputable aux augmentations simultanées de leurs composantes courantes et en capital.
Pour ce qui est des dépenses courantes, elles sont estimées à 722 milliards. Celles-ci ont progressé de 142,2 milliards en liaison avec la masse salariale, les charges de fonctionnement et les intérêts sur la dette publique qui ont respectivement crû de 16,3%, 25,7% et 39,3%.
Quant à l’augmentation des charges de fonctionnement, elle est liée à l’organisation des élections de février 2019 et aux transferts et subventions. Pour sa part, l’accroissement des charges d’intérêt traduit l’échéance de l’Eurobond. Concernant les dépenses en capital, elles sont, à la fois, portées par les investissements sur ressources intérieures et extérieures qui se sont accrus.
Autres articles
-
10e Revue Annuelle des Réformes de l'UEMOA : le Sénégal évalue ses progrès dans l'intégration régionale
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)
-
Déficit budgétaire du Sénégal : les stratégies du gouvernement pour remonter la pente, selon Abdourahmane Sarr