Organisé conjointement par la Senelec et l’ASEA, le congrès avait pour thème : « nécessité de service public et la performance des sociétés d’électricité ». Ce forum, qui a coïncidé avec le cinquantenaire de l’ASEA, s'est achevé après cinq jours d'intenses activités.
Les travaux du congrès ont été synthétisés dans un rapport général. Par la suite, douze (12) recommandations ont été formulées. Au nombre de celles-ci, la capitalisation des ressources relatives au programme d’électricité pour tous dans les données de l’accès à l’électricité des populations.
Le rapport recommande aux décideurs et aux gouvernements africains d’accélérer le développement des marchés de l'électricité au niveau du continent par la construction des corridors d'interconnexion et la réalisation progressive du marché unique en électricité en Afrique.
En outre, le rapport indique la mise en place d’une politique énergétique africaine intégrant les questions sur les énergies renouvelables, ainsi que toutes les questions connexes sur l'utilisation des études électriques.
Il ressort du rapport de faire de la cybersécurité une priorité dans les investissements des sociétés africaines d'électricité afin d'assurer la sécurité de l'information des infrastructures électriques qui garantit la fourniture de l'électricité.
Venu représenter le président de l’ASEA à la cérémonie de clôture, le secrétaire général de la Senelec a, dans son discours, indiqué que la question de l’électricité et de la performance de nos sociétés publiques est une question structurante pour tout un continent.
« Le congrès a confirmé le consensus sur la voie à suivre et les conditions de la réussite comme l’urgence de nous affranchir du cloisonnement pour espérer amener notre cher continent à l’aube de la résolution définitive de l’accès à l’énergie », a soutenu Pape Toby Gaye.
Au sortir de ces cinq jours de travaux, a-t-il poursuivi, le Sénégal prend l’engagement de faire en sorte que « les résolutions issues de ce séminaire puissent avoir un écho favorable auprès des plus hautes instances du secteur à travers le continent ».
Selon le secrétaire général de la Senelec, l’accomplissement des travaux de Diamniadio ne doit point être lettres mortes, mais plutôt le « point de départ d’un nouvel épisode dans la poursuite du développement socioéconomique de toute l’Afrique ».
Les travaux du congrès ont été synthétisés dans un rapport général. Par la suite, douze (12) recommandations ont été formulées. Au nombre de celles-ci, la capitalisation des ressources relatives au programme d’électricité pour tous dans les données de l’accès à l’électricité des populations.
Le rapport recommande aux décideurs et aux gouvernements africains d’accélérer le développement des marchés de l'électricité au niveau du continent par la construction des corridors d'interconnexion et la réalisation progressive du marché unique en électricité en Afrique.
En outre, le rapport indique la mise en place d’une politique énergétique africaine intégrant les questions sur les énergies renouvelables, ainsi que toutes les questions connexes sur l'utilisation des études électriques.
Il ressort du rapport de faire de la cybersécurité une priorité dans les investissements des sociétés africaines d'électricité afin d'assurer la sécurité de l'information des infrastructures électriques qui garantit la fourniture de l'électricité.
Venu représenter le président de l’ASEA à la cérémonie de clôture, le secrétaire général de la Senelec a, dans son discours, indiqué que la question de l’électricité et de la performance de nos sociétés publiques est une question structurante pour tout un continent.
« Le congrès a confirmé le consensus sur la voie à suivre et les conditions de la réussite comme l’urgence de nous affranchir du cloisonnement pour espérer amener notre cher continent à l’aube de la résolution définitive de l’accès à l’énergie », a soutenu Pape Toby Gaye.
Au sortir de ces cinq jours de travaux, a-t-il poursuivi, le Sénégal prend l’engagement de faire en sorte que « les résolutions issues de ce séminaire puissent avoir un écho favorable auprès des plus hautes instances du secteur à travers le continent ».
Selon le secrétaire général de la Senelec, l’accomplissement des travaux de Diamniadio ne doit point être lettres mortes, mais plutôt le « point de départ d’un nouvel épisode dans la poursuite du développement socioéconomique de toute l’Afrique ».
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