Le bureau pays de l'Organisation International pour les Migrations (OIM) au Sénégal a organisé ce jeudi un atelier pour élaborer les procédures opérationnelles standards pour la prise en charge des migrants secourus en mer après leur débarquement. Un projet financé à hauteur de 300 mille dollars a été élaboré afin de mettre en place des procédures harmonisées pour une synergie d’action dans l’intervention, capacité les acteurs impliqués dans le débarquement des migrants, dans la prise en charge.
« La question qui est traitée, c’est de voir comment mettre en place des procédures harmonisées pour une synergie d’action dans l’intervention après le débarquement. Le fait de travailler sur des procédures harmonisées et standardisé, facilite un peu les missions de chaque structure et ça va être automatique. Depuis un certain temps, il y a une recrudescence de le migration irrégulière par voie maritime. Et cela nécessite pour les gouvernements d’apporter des réponses et travailler à une synergie d’intervention pour savoir qui fait quoi, à quel moment. Aujourd’hui, il y a le Comité Interministériel de Lutte contre l’Émigration Clandestine (CILEC), ou on regroupe plusieurs acteurs pour lutter contre la migration irrégulière. L’autre élément, c’est le soutien des partenaires comme l’OIM qui soutient le gouvernement du Sénégal. C’est la raison pour laquelle nous allons étudier ces difficultés et apporter des réponses », a déclaré Elhadj Abdoul Karim Cissé, Conseil Technique à la Direction général des Sénégalais de l’extérieur, au ministère des Affaires étrangère et des Sénégalais de l’extérieur.
Venu représenter le ministre de l'Intérieur, le chef de la division communication, prévention et sensibilisation du comité interministériel de lutte contre l’émigration irrégulière soutient que le Sénégal a fait le pari d’adresser ou de cerner toute la problématique migratoire. « C’est ainsi que l’Etat du Sénégal a mis sur pied le CILEC en décembre 2020. C’est pour palier certains manquements et fédérés des actions, des synergies autour de cette problématique. L’une des fonctions dédiées au CILEC, est la centralisation et la coordination de lutte contre ce phénomène. Cet atelier vient en son heure en développement un projet qui puisse capacité les acteurs impliqués dans le débarquement des migrants dans la prise en charge », a déclaré Hanry B. Cisse
Valeria Falaschi, chargée de programme de l’OIM Sénégal d’ajouter : « Ce projet est financé par le Fonds de Développement de l’OIM à hauteur de 300 mille dollars. Nous avons mis toute notre volonté pour que ce projet voie le jour. Nos attentes, c’est d’avoir en connaissance la réalité sur le terrain en termes d’acteur, des capacités logistiques, humaines, et des routes, chacun. Quand on parle de naufrage, il y a beaucoup d’aspects qui se mettent en marche. Nous avons l’Etat souverain, les termes de sécurité d’où la gendarmerie, la police, la gestion de frontières, l’assistance des migrants, les investigations avec les droits des enfants, des femmes, etc., ce que nous voulons est que tous les acteurs se mettent en réseau qui communique pour savoir qui fait quoi, ou, quand et comment».
« La question qui est traitée, c’est de voir comment mettre en place des procédures harmonisées pour une synergie d’action dans l’intervention après le débarquement. Le fait de travailler sur des procédures harmonisées et standardisé, facilite un peu les missions de chaque structure et ça va être automatique. Depuis un certain temps, il y a une recrudescence de le migration irrégulière par voie maritime. Et cela nécessite pour les gouvernements d’apporter des réponses et travailler à une synergie d’intervention pour savoir qui fait quoi, à quel moment. Aujourd’hui, il y a le Comité Interministériel de Lutte contre l’Émigration Clandestine (CILEC), ou on regroupe plusieurs acteurs pour lutter contre la migration irrégulière. L’autre élément, c’est le soutien des partenaires comme l’OIM qui soutient le gouvernement du Sénégal. C’est la raison pour laquelle nous allons étudier ces difficultés et apporter des réponses », a déclaré Elhadj Abdoul Karim Cissé, Conseil Technique à la Direction général des Sénégalais de l’extérieur, au ministère des Affaires étrangère et des Sénégalais de l’extérieur.
Venu représenter le ministre de l'Intérieur, le chef de la division communication, prévention et sensibilisation du comité interministériel de lutte contre l’émigration irrégulière soutient que le Sénégal a fait le pari d’adresser ou de cerner toute la problématique migratoire. « C’est ainsi que l’Etat du Sénégal a mis sur pied le CILEC en décembre 2020. C’est pour palier certains manquements et fédérés des actions, des synergies autour de cette problématique. L’une des fonctions dédiées au CILEC, est la centralisation et la coordination de lutte contre ce phénomène. Cet atelier vient en son heure en développement un projet qui puisse capacité les acteurs impliqués dans le débarquement des migrants dans la prise en charge », a déclaré Hanry B. Cisse
Valeria Falaschi, chargée de programme de l’OIM Sénégal d’ajouter : « Ce projet est financé par le Fonds de Développement de l’OIM à hauteur de 300 mille dollars. Nous avons mis toute notre volonté pour que ce projet voie le jour. Nos attentes, c’est d’avoir en connaissance la réalité sur le terrain en termes d’acteur, des capacités logistiques, humaines, et des routes, chacun. Quand on parle de naufrage, il y a beaucoup d’aspects qui se mettent en marche. Nous avons l’Etat souverain, les termes de sécurité d’où la gendarmerie, la police, la gestion de frontières, l’assistance des migrants, les investigations avec les droits des enfants, des femmes, etc., ce que nous voulons est que tous les acteurs se mettent en réseau qui communique pour savoir qui fait quoi, ou, quand et comment».
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