Le Syndicat National des Agents de l'Administration du Commerce (SYNACOM) a fait face à la presse, ce mercredi, pour déplorer le manque de ‘’considération’’ et la ‘’discrimination’’ de la part du Gouvernement à l'endroit de l'ensemble des Cadres du commerce et autres agents du Département. Selon le syndicat, sur les 5 points de leurs revendications, aucun n'a été satisfait. Ainsi, le SYNACOM menace d’observer une grève totale de 72 h à compter du mercredi 10 au vendredi 12 août pour exiger du gouvernement, le respect de leurs points de revendication.
« Après l'écoulement de la durée légale du préavis de grève, le SYNACOM avait informé l'opinion publique nationale et toute la presse qu'une grève générale serait observée au ministère du Commerce et des PME à compter du mardi 19 au jeudi 21 juillet 2022 avec notamment la suspension de toutes les activités d'enquête, de contrôles et de surveillance du marché. Cette situation a entraîné de lourdes pertes pour l'économie sénégalaise avec le ralentissement des activités portuaires et des frais de surestaries pour les opérateurs évalués à plusieurs centaines de millions. En outre, sur les 5 points de revendications du SYNACOM, aucun n'a été satisfait. (…). Ainsi, nous exigeons de l'Etat la satisfaction, sans délai, de la plateforme revendicative, l'alignement de la rémunération des Commissaires aux enquêtes économiques et des contrôleurs du contrôle économique, la revalorisation salariale des autres agents du ministère, le recrutement dans la fonction publique des agents temporaires du Département, la dotation suffisante de moyens logistiques entres autres», a déclaré Adama Mohamed Mbaye, Secrétaire général du SYNACOM.
Poursuivant sa déclaration, M. Mbaye prévient : « A défaut et dans une optique de défense des intérêts matériels et moraux de ses membres, le SYNACOM porte à la connaissance de l'opinion publique et des Autorités l'exécution de son deuxième plan d'actions. Il s'agit d'une grève totale de 72 h (du mercredi 10 au vendredi 12 Aout 2022) qui aura certainement les mêmes conséquences. Sur ce, nous invitons tous les membres du SYNACOM à rester mobilisés et engagés pour la satisfaction de nos revendications légitimes. L'Administration du Commerce sera ce que nous voulons qu'elle soit. Aux autorités, nous rappelons notre disponibilité à dialoguer, mais dans le respect de notre dignité humaine ».
« Après l'écoulement de la durée légale du préavis de grève, le SYNACOM avait informé l'opinion publique nationale et toute la presse qu'une grève générale serait observée au ministère du Commerce et des PME à compter du mardi 19 au jeudi 21 juillet 2022 avec notamment la suspension de toutes les activités d'enquête, de contrôles et de surveillance du marché. Cette situation a entraîné de lourdes pertes pour l'économie sénégalaise avec le ralentissement des activités portuaires et des frais de surestaries pour les opérateurs évalués à plusieurs centaines de millions. En outre, sur les 5 points de revendications du SYNACOM, aucun n'a été satisfait. (…). Ainsi, nous exigeons de l'Etat la satisfaction, sans délai, de la plateforme revendicative, l'alignement de la rémunération des Commissaires aux enquêtes économiques et des contrôleurs du contrôle économique, la revalorisation salariale des autres agents du ministère, le recrutement dans la fonction publique des agents temporaires du Département, la dotation suffisante de moyens logistiques entres autres», a déclaré Adama Mohamed Mbaye, Secrétaire général du SYNACOM.
Poursuivant sa déclaration, M. Mbaye prévient : « A défaut et dans une optique de défense des intérêts matériels et moraux de ses membres, le SYNACOM porte à la connaissance de l'opinion publique et des Autorités l'exécution de son deuxième plan d'actions. Il s'agit d'une grève totale de 72 h (du mercredi 10 au vendredi 12 Aout 2022) qui aura certainement les mêmes conséquences. Sur ce, nous invitons tous les membres du SYNACOM à rester mobilisés et engagés pour la satisfaction de nos revendications légitimes. L'Administration du Commerce sera ce que nous voulons qu'elle soit. Aux autorités, nous rappelons notre disponibilité à dialoguer, mais dans le respect de notre dignité humaine ».
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