Le lancement a été effectué en visioconférence depuis Bangui, la capitale centrafricaine, par le gouverneur de la BEAC, Yvon Sana Bangui. Une initiative très attendue à Brazzaville.
Dans les rues, les réactions sont majoritairement positives. « La monnaie est la bienvenue parce qu’elle va résoudre beaucoup de problèmes ici », affirme un habitant.« Dans les marchés et les transports, on rencontre souvent des pénuries de pièces. Au moins là, le problème sera réglé », ajoute une femme.
La rareté des pièces avait même entraîné des tensions entre commerçants et clients. « Certains se retrouvaient sans pièces pour rendre la monnaie. Donc, c’est une bonne nouvelle qui va certainement rassurer les usagers que nous sommes », souligne un autre témoin.
La pièce de 200 FCFA suscite des interrogations
Parmi les nouvelles pièces introduites, on retrouve notamment une pièce de 200 FCFA, soit environ 30 centimes d’euro. Cependant, son apparition suscite des inquiétudes, particulièrement dans le secteur des transports, où cette nouvelle pièce pourrait entraîner une hausse des tarifs. « Pour moi, la pièce de 200 FCFA pose problème, car elle risque de provoquer une sorte d’inflation mécanique », explique l’analyste économique Alphonse Ndongo.
La BEAC prévoit d’injecter 500 millions de FCFA, soit environ 760 000 euros, en pièces chaque année, avec un objectif de 3 milliards de FCFA (environ 4,57 millions d’euros) d'ici à 2030.
Dans les rues, les réactions sont majoritairement positives. « La monnaie est la bienvenue parce qu’elle va résoudre beaucoup de problèmes ici », affirme un habitant.« Dans les marchés et les transports, on rencontre souvent des pénuries de pièces. Au moins là, le problème sera réglé », ajoute une femme.
La rareté des pièces avait même entraîné des tensions entre commerçants et clients. « Certains se retrouvaient sans pièces pour rendre la monnaie. Donc, c’est une bonne nouvelle qui va certainement rassurer les usagers que nous sommes », souligne un autre témoin.
La pièce de 200 FCFA suscite des interrogations
Parmi les nouvelles pièces introduites, on retrouve notamment une pièce de 200 FCFA, soit environ 30 centimes d’euro. Cependant, son apparition suscite des inquiétudes, particulièrement dans le secteur des transports, où cette nouvelle pièce pourrait entraîner une hausse des tarifs. « Pour moi, la pièce de 200 FCFA pose problème, car elle risque de provoquer une sorte d’inflation mécanique », explique l’analyste économique Alphonse Ndongo.
La BEAC prévoit d’injecter 500 millions de FCFA, soit environ 760 000 euros, en pièces chaque année, avec un objectif de 3 milliards de FCFA (environ 4,57 millions d’euros) d'ici à 2030.
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