
Ils n’ont encore rien dit sur leur participation à l’élection présidentielle prévue le 17 avril prochain. Et pourtant, ils ont un rôle à jouer. Les islamistes d’abord, opposés à un quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika. Le principal parti islamiste du pays doit se réunir ce week-end.
Trois scénarios sont possibles : le boycott, une alliance avec d’autres partis islamistes ou un candidat propre. Mais Abderrazak Makri, nouveau leader charismatique du Mouvement de la société pour la paix (MSP) n’a pas annoncé ses intentions pour la présidentielle.
Autre challenger possible, l’ancien homme fort du pouvoir, Abdelaziz Belkhadem. Il a passé des années à la tête du Front de libération nationale (FLN), avant d’être débarqué il y a un an. Mais il est difficile pour lui d’être candidat tant qu’Abdelaziz Bouteflika, le président d’honneur du parti, ne s’est pas prononcé.
Enfin, si le Premier ministre Abdelmalek Sellal a été décrit comme présidentiable, il ne peut plus théoriquement être candidat depuis qu’il a été nommé à la tête de la commission qui organise les élections.
Source : Rfi.fr
-
Côte d'Ivoire: à six mois de la présidentielle, Laurent Gbagbo appelle à une protestation «multiforme et permanente»
-
RDC-Rwanda: ce que contient la déclaration de principes signée à Washington
-
Centrafrique: mise en oeuvre de l’accord entre le gouvernement, l’UPC et les 3R
-
Entre l'Inde et le Pakistan, de nouveaux tirs à la frontière et des tensions récurrentes
-
Guinée-Bissau: à quelques mois de la présidentielle, des représentants de l'opposition réunis à Paris