Compte tenu de :
1) L’actualité brûlante de l’épidémie de l’Ebola, dont le pouvoir foudroyant du virus a amené l’OMS à décréter « une urgence de santé publique de portée mondiale » et à déclarer qu’ « une réponse internationale coordonnée est essentielle pour arrêter et faire reculer la propagation internationale du virus », sans soulever toutefois la question scientifique de l’origine réelle du virus et les manipulations à l’origine de sa diffusion pour le combattre efficacement ;
2) L’ampleur des ravages déjà causés par la pandémie du Sida dans le monde et plus gravement en Afrique sub-saharienne où, selon les chiffres de l’OMS, vivaient plus des trois quarts des 30 millions de victimes du sida dans le monde jusqu’en 2013, où vivent actuellement 25 des 34 millions des porteurs du virus du Sida dans le monde et plus de 90 % des enfants contaminés dans le monde par ce virus, ce qui a amené l’ONU à créer en 1995 le programme ONUSIDA destiné à coordonner la mobilisation mondiale contre cette pandémie, sans que jusqu’à ce jour les moyens scientifiques et de renseignements dont l’efficacité peut être redoutable n’aient été mobilisés pour déterminer de manière sûre l’origine réelle et les mécanismes à l’origine de la diffusion du Sida afin de le combattre plus efficacement ;
3) L’irrecevabilité scientifique des thèses sur la transmission en Afrique, il y a seulement quelques années, des virus du Sida et de l’Ebola à l’homme en provenance de certains animaux qui en seraient des porteurs sains, puisque l’Afrique est le berceau de l’humanité et que les hommes et les animaux y cohabitent depuis des millions d’années, donc bien avant l’apparition des maladies du Sida et de l’Ebola à partir de 1958 et 1967 respectivement, ce qui oriente indiscutablement les recherches sur l’apparition de ces maladies vers des causes humaines, plus précisément vers la mise au point et les manipulations « d’armes biologiques de destruction massive » dont l’Afrique sub-saharienne se trouve être la cible principale et la première victime sans comparaison avec d’autres régions du monde ;
4) L’attestation du programme COAST développé par le régime sud-africain de l’Apartheid entre 1980 et 1994, consistant en la mise au point et les manipulations « d’armes biologiques de destruction massive », dirigées sélectivement contre les populations noires d’Afrique, et incarné par Dr Wouster Basson surnommé « Docteur la Mort », comme le rapporte le journaliste français Tristan Mendès France, petit fils de l’ancien Président du Conseil des ministres français sous le Président français René Coty, et administrateur de l’Institut Pierre Mendès France, dans son livre « Dr la Mort. Enquête sur le bioterrorisme d’Etat en Afrique du Sud », publié en 2002 et précisant : « Anthrax, Ebola, Sida, Choléra, stérilisation de masse, poisons chimiques ethniquement sélectifs, figurent parmi les armes envisagées par les autorités de l’Apartheid contre la population noire. Un projet de guerre biochimique à caractère raciste largement soutenu par les puissances occidentales. Mis sur pied en 1985, le programme militaire n’a apparemment pris fin qu’en 1994, sans que toutes les responsabilités soient clairement établies. A ce jour nul ne sait où a disparu cette technologie de mort ni entre quelles mains elle se trouve. Encore moins sait-on qui pourrait en faire usage ». (voir la présentation du livre à l’adresse http://www.bibliomonde.com/livre/mort-enquete-sur-bio-terrorisme-etat-en-afrique-du-sud-1403.html). Tristan Mèdes France est également l’auteur du documentaire « Docteur la Mort » diffusé sur France 3 en 2002 (cf. http://www.youtube.com/watch?v=RKGDCnWTWIo), complété par le documentaire « Projet Coast : le génocide » diffusé sur Arte en 2009 (cf. http://www.youtube.com/watch?v=Hme1xB5OfTY);
5) Des accusations graves confirmant la collaboration scientifique internationale dont a bénéficié le programme COAST du régime de l’Apartheid, publiées par l’américain Dr Boyd E. Graves dans son livre « State origin : the evidence of the laboratory birth of AIDS » (« Origine Etatique : la preuve de la naissance en laboratoire du SIDA »), publié en 2001, où l’auteur démontre avec beaucoup de documents officiels à l’appui comment, sous le couvert de recherche sur le Cancer, le programme « Special Virus » lancé le 12 février 1962 par l’Administration américaine et ayant bénéficié de la collaboration de biologistes de renom comme le Professeur Robert Gallo, le co-découvreur officiel américain du virus présumé du SIDA, a contribué à la création, à la production et à l’inoculation en masse d’un « vecteur » du SIDA en vue de la destruction sélective et massive de populations noires en Afrique et aux Etats-Unis (cf. l’article « The history and the flowchart of the development of AIDS » à l’adresse :
http://www.deepspace4.com/pages/diseases/pagediseases.htm voir une traduction partielle en français à l’adresse http://historyofnations.org/French/genealogy/aids.html), comme semblent le corroborer les pièces à convictions du documentaire « les origines du Sida », diffusé en 2004 sur la Deuxième Chaîne de la télévision belge d’expression française, explicitant le liens entre l’expérimentation contre la mise en garde de l’OMS sur plus d’un million d’enfants Congolais, Burundais et Rwandais entre 1958 et 1960 du vaccin « Tchate » du Dr H. Koprowski contre la polio à base de reins de chimpanzé et les premières attestations du SIDA dans le monde (cf. https://www.youtube.com/watch?v=1So0zWeryUA, remarquablement commenté dans l’article à l’adresse http://www.stanleyville.be/documents/Origines%20du%20SIDA.pdf);
6) Des liens troublants, dévoilés en 1996 par le chercheur américain Leonard Horowitz, dans son très documenté livre « Emerging Viruses: Aids & Ebola - Nature, Accident or Intentional? » (traduit en français sous le titre « La guerre des virus : Sida et Ebola - Naturel, Accidentel ou intentionnel ? »), entre d’une part l’OTRAGland, territoire de 100 000 km² vidé de sa population et attribué en 1976 par le président zaïrois Mobutu à une mystérieuse société allemande, OTRAG, supposée lancer des satellites dans l’atmosphère, alors que la NASA n’opère que sur 331 km², et d’autre part les industries et institutions travaillant dans le domaine de la mise au point des armes bactériologiques au sein de l’OTAN, démontrant ainsi que le SIDA et l’Ebola ne sont apparus de manière spontanée ni n’ont franchi la barrière d'espèce entre le singe et l'homme de manière naturelle, sachant que le virus de l’Ebola est apparu la même année que le «virus de Marburg» du nom d’une ville d’Allemagne où il a causé en août 1967 plusieurs morts parmi des laborantins qui le manipulaient sur des singes, avant de se manifester dans l’ex-Zaïre sous le nom «Ebola» en septembre 1967 (voir à ce sujet l’article très édifiant de Wikipédia « Laboratoire P4 » à l’adresse http://fr.wikipedia.org/wiki/Laboratoire_P4 , donnant la liste de plusieurs laboratoires dans le monde entier, dont le laboratoire de virologie de l’Université de Marburg, le Centre de Contrôle des Maladies d’Atlanta, le laboratoire P4 Jean Mérieux-INSERM de Lyon, le Centre International de Recherches Médicales de Franceville au Gabon, cultivant « officiellement » depuis des décennies des virus hautement pathogènes de classe 4 générant des fièvres hémorragiques, en particulier le virus de l’Ebola).
7) La nécessité morale de lever le doute sur toutes ces graves accusations de mise au point et d’usage « d’armes biologiques de destruction massive » et sélective sur un critère racial, de mettre fin le plus tôt possible à l’impunité intolérable d’un véritable « crime contre l’humanité », et surtout de protéger les populations visées contre la mise au point et d’usage « d’armes biologiques de destruction massive » et sélective sur un critère racial dont le pouvoir pourrait être plus foudroyant que celui de l’Ebola ;
8) La nécessité politique et stratégique de mettre fin le plus tôt possible au manque de réaction des autorités politiques africaines en vue d’agir efficacement et énergiquement en amont sur les causes premières des épidémies du SIDA et de l’EBOLA en Afrique, conformément à l’enseignement de la sagesse proverbiale africaine rappelant que « toute personne est traitée en fonction de son comportement supposé et de ses réactions supposées qui se lisent sur sa mine », et conformément à une des lois fondamentales de la dynamique connue sous le nom de « troisième loi de Newton » ou « principe des actions réciproques », affirmant que « toute action suscite une réaction d’égale intensité, de même direction et de sens opposé ».
Au nom de la science, nous soussignés, scientifiques, intellectuels, acteurs politiques ou de la société civile, demandons instamment aux plus hauts responsables de l’Union Africaine, notamment de la Commission de l’Union Africaine, de saisir en urgence le Conseil de Sécurité de l’ONU pour obtenir l’établissement en urgence d’une « Commission Internationale d’Enquête sur l’origine et la diffusion du SIDA et de l’EBOLA », sous l’égide du Conseil de Sécurité de l’ONU et de l’Union Africaine, dont le président et la moitié des membres devraient être nommés par l’Union Africaine, et devant déboucher selon ses conclusions sur la création d’un « Tribunal Spécial sur le SIDA et l’EBOLA » pour juger tous les responsables, commanditaires et exécutants, des crimes soupçonnés. Cela s’impose d’autant plus que le Conseil de Sécurité n’a pas tardé à établir une commission d’enquête internationale suivie d’un tribunal spécial à la suite de l’assassinat de onze personnes au Liban en février 2005 et que deux grandes puissances occidentales étaient prêtes à bombarder la Syrie pour l’utilisation supposée d’armes chimiques ayant fait un millier de victimes entre mars et août 2013.
Pascal Adjamagbo-Guy Alovor-Kanyana Mutombo
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