
Dans sa lettre, le député a soulevé plusieurs questions liées à la transparence, la gestion rigoureuse et la souveraineté nationale vis-à-vis des acquisitions foncières étrangères. "Sur quelle base juridique et selon quels critères ces terres ont-elles été attribuées aux entreprises et investisseurs étrangers?", s’est interrogé Tahirou Sarr, avant de demander des éclaircissements sur les procédures ayant conduit à ces attributions.
Il a en outre questionné la conformité de ces processus avec le Code du domaine national et la préservation des intérêts du pays, soulignant l'importance de garantir que ces transactions ne portent pas atteinte à la souveraineté du Sénégal. "Ces contrats d'attribution, sont-ils assortis d'obligations précises en termes d'investissements et de développement agricole en faveur du Sénégal ?", a-t-il demandé, insistant sur la nécessité de s'assurer que ces investissements contribuent effectivement à la croissance économique et à la sécurité alimentaire du pays.
Dans le cadre de cette interpellation, le député a également appelé à une plus grande transparence sur l’état du foncier national. Il a demandé au gouvernement de fournir une liste exhaustive et actualisée des terres attribuées à des entités étrangères, avec une précision sur leur localisation, superficie et usage déclaré. "Existe-t-il un cadastre national numérique accessible au public permettant de connaître précisément l'état du foncier national ?", a-t-il ajouté.
En outre, Tahirou Sarr a interrogé les autorités sur les revenus générés par ces transactions foncières pour l'État. "Combien ces transactions foncières ont-elles rapporté aux caisses de l'État?", a-t-il demandé, en insistant sur le fait que ces ressources doivent être utilisées à bon escient pour le bien-être de la population.
Le député a également souligné la nécessité de prendre en compte les communautés locales affectées par ces cessions ou baux fonciers. "Quelles contreparties ont été négociées pour le bénéfice des communautés locales affectées par ces cessions ou baux fonciers?", a-t-il demandé, attirant l'attention sur l’importance d’une gestion équitable du foncier. Qui bénéficie à la fois aux investisseurs étrangers et aux populations locales.
Une autre question centrale posée par Tahirou Sarr concerne la souveraineté du Sénégal et la sécurité alimentaire face à l’ampleur des surfaces attribuées à des étrangers. "Le gouvernement estime-t-il que l'ampleur des surfaces attribuées à des étrangers est compatible avec la souveraineté nationale et la sécurité alimentaire du Sénégal?", a-t-il questionné, soulignant que la gestion des terres est un enjeu stratégique pour l’avenir du pays.
Le député a conclu sa lettre en insistant sur la nécessité d'une pleine transparence en matière de gestion foncière et a réitéré l'importance de tenir l’opinion publique informée des choix opérés par l'État. "Dans un contexte où la pression foncière s'intensifie et où la maîtrise du foncier est un enjeu crucial pour notre souveraineté et notre développement, il est impératif que l'opinion publique soit pleinement informée des choix opérés par l'État en la matière", a-t-il affirmé.
Tahirou Sarr a ainsi demandé au gouvernement de répondre avec précision à ses questions et de publier un état détaillé du foncier détenu par des étrangers, dans un souci de transparence totale.
Il a en outre questionné la conformité de ces processus avec le Code du domaine national et la préservation des intérêts du pays, soulignant l'importance de garantir que ces transactions ne portent pas atteinte à la souveraineté du Sénégal. "Ces contrats d'attribution, sont-ils assortis d'obligations précises en termes d'investissements et de développement agricole en faveur du Sénégal ?", a-t-il demandé, insistant sur la nécessité de s'assurer que ces investissements contribuent effectivement à la croissance économique et à la sécurité alimentaire du pays.
Dans le cadre de cette interpellation, le député a également appelé à une plus grande transparence sur l’état du foncier national. Il a demandé au gouvernement de fournir une liste exhaustive et actualisée des terres attribuées à des entités étrangères, avec une précision sur leur localisation, superficie et usage déclaré. "Existe-t-il un cadastre national numérique accessible au public permettant de connaître précisément l'état du foncier national ?", a-t-il ajouté.
En outre, Tahirou Sarr a interrogé les autorités sur les revenus générés par ces transactions foncières pour l'État. "Combien ces transactions foncières ont-elles rapporté aux caisses de l'État?", a-t-il demandé, en insistant sur le fait que ces ressources doivent être utilisées à bon escient pour le bien-être de la population.
Le député a également souligné la nécessité de prendre en compte les communautés locales affectées par ces cessions ou baux fonciers. "Quelles contreparties ont été négociées pour le bénéfice des communautés locales affectées par ces cessions ou baux fonciers?", a-t-il demandé, attirant l'attention sur l’importance d’une gestion équitable du foncier. Qui bénéficie à la fois aux investisseurs étrangers et aux populations locales.
Une autre question centrale posée par Tahirou Sarr concerne la souveraineté du Sénégal et la sécurité alimentaire face à l’ampleur des surfaces attribuées à des étrangers. "Le gouvernement estime-t-il que l'ampleur des surfaces attribuées à des étrangers est compatible avec la souveraineté nationale et la sécurité alimentaire du Sénégal?", a-t-il questionné, soulignant que la gestion des terres est un enjeu stratégique pour l’avenir du pays.
Le député a conclu sa lettre en insistant sur la nécessité d'une pleine transparence en matière de gestion foncière et a réitéré l'importance de tenir l’opinion publique informée des choix opérés par l'État. "Dans un contexte où la pression foncière s'intensifie et où la maîtrise du foncier est un enjeu crucial pour notre souveraineté et notre développement, il est impératif que l'opinion publique soit pleinement informée des choix opérés par l'État en la matière", a-t-il affirmé.
Tahirou Sarr a ainsi demandé au gouvernement de répondre avec précision à ses questions et de publier un état détaillé du foncier détenu par des étrangers, dans un souci de transparence totale.
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