Un pays « mal géré » par des « anti-valeurs » pour Matata Ponyo qui parle d'un « constat amer » après 43 ans d'indépendance et d'un échec « à bâtir un beau pays » comme l'ont « rêvé » les ancêtres.
Un pays gangréné par la « mauvaise gouvernance », « l'abandon assumé de l'État de droit » et la « confiscation des libertés », selon Moïse Katumbi, plongeant la population dans « la faim, la misère et la détresse ».
Une population victime de « barbaries », a dit Martin Fayulu, qui a détaillé une longue critique du bilan du président sortant Félix Tshisekedi, qu'il a qualifié « d'usurpateur des pouvoirs du peuple ».
Mais tous trois ont également évoqué un motif d'espoir : l'élection présidentielle de décembre qu'ils ont exigée « transparente, impartiale, inclusive et apaisée » pour reprendre les mots de Martin Fayulu, qui met toutefois en garde contre « le dispositif de fraude » du « régime ».
Matata Ponyo, lui, a appelé la Céni à ne pas « rater son rendez-vous avec l'Histoire comme en 2018 ». « Face à la fraude, a conclu lui aussi Moïse Katumbi, si nous sommes réduits à rester toute la nuit du 20 décembre pour protéger les résultats et les vrais gagnants, un nouveau Congo est possible. »
Un pays gangréné par la « mauvaise gouvernance », « l'abandon assumé de l'État de droit » et la « confiscation des libertés », selon Moïse Katumbi, plongeant la population dans « la faim, la misère et la détresse ».
Une population victime de « barbaries », a dit Martin Fayulu, qui a détaillé une longue critique du bilan du président sortant Félix Tshisekedi, qu'il a qualifié « d'usurpateur des pouvoirs du peuple ».
Mais tous trois ont également évoqué un motif d'espoir : l'élection présidentielle de décembre qu'ils ont exigée « transparente, impartiale, inclusive et apaisée » pour reprendre les mots de Martin Fayulu, qui met toutefois en garde contre « le dispositif de fraude » du « régime ».
Matata Ponyo, lui, a appelé la Céni à ne pas « rater son rendez-vous avec l'Histoire comme en 2018 ». « Face à la fraude, a conclu lui aussi Moïse Katumbi, si nous sommes réduits à rester toute la nuit du 20 décembre pour protéger les résultats et les vrais gagnants, un nouveau Congo est possible. »
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