« Moi je trouve très gênant, pour un gouvernement, de s’engager dans une procédure et ensuite de la suspendre. Chaque fois qu’un gouvernement a suspendu une décision, cela pose des questions sur la maturité du processus qui a été mené pour arriver à la décision », c’est l’appréciation faite par Ckeikh Tidiane Gadio sur la décision du gouvernement de suspendre ce projet. Et le leader du mouvement politique Luy Jot Jotna de soulever plusieurs questions, est-ce que les populations ont été bien informées et associées à la décision ? Quel est l’intérêt du projet qu’on va implanter et quel est son impact sur l’environnement, la vie des populations autour ? Si ce travail a été bien fait, on ne serait pas dans des situations ni embarrassante comme celle-là, où le gouvernement décide, et ensuite retire la décision, tire-t-il comme conclusion.
« La sensibilité de la question de la terre : au Fouta particulièrement, mais dans d’autres régions du Sénégal, tous ceux qui connaissent ces pays là, qui respectent ces terroirs et leurs traditions ancestrales, font attention avant de s’engager dans des procédures », explique Gadio.
L’ancien ministre des affaires étrangères qui était dans l’émission Opinion de WalfTv et Fm ce dimanche soutient que « la violence, malheureusement, surtout la violence politique, on l’a eu dans ce pays, au Sénégal, mais à des proportions suffisamment assez contrôlées pour qu’on ne parle pas de situations extrêmement graves. Mais là, ce qui se passe à Fanaye, ce qui s’était passé à Sangalkam, c’est très préoccupant par rapport à la montée de la violence dans notre pays ».
« La sensibilité de la question de la terre : au Fouta particulièrement, mais dans d’autres régions du Sénégal, tous ceux qui connaissent ces pays là, qui respectent ces terroirs et leurs traditions ancestrales, font attention avant de s’engager dans des procédures », explique Gadio.
L’ancien ministre des affaires étrangères qui était dans l’émission Opinion de WalfTv et Fm ce dimanche soutient que « la violence, malheureusement, surtout la violence politique, on l’a eu dans ce pays, au Sénégal, mais à des proportions suffisamment assez contrôlées pour qu’on ne parle pas de situations extrêmement graves. Mais là, ce qui se passe à Fanaye, ce qui s’était passé à Sangalkam, c’est très préoccupant par rapport à la montée de la violence dans notre pays ».
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