Rfi.fr | 24/09/2019 | Actu en filet

partis politiques, tractations d'entre-deux-tours, Tunisie

Alerte Info | 10/09/2015 | Afrique

bientôt soldé, Côte d'Ivoire, L'appui financier de l'Etat, partis politiques

| 23/01/2015 | Afrique

6 milliards de francs CFA (env 77 millions d'euros), 6 milliards FCFA (env 39 millions d'euros) sont à trouver auprès des bailleurs internationaux., a affirmé jeudi le président Michel Kafando, a assuré M. Kafando ajoutant que son équipe remettra "officiellement" le pouvoir à un gouvernement démocratiquement élu "en novembre 2015". Le président burkinabè a cependant "définitivement" exclu le vote de ses millions de compatriotes vivant hors du Burkina, a indiqué M. Kafando, bien qu'une disposition en ce sens ait été inscrite dans la Constitution depuis 2005, ce qui aurait pu provoquer des difficultés d'organisation et une éventuelle abstention. Le Burkina Faso vit une période de transition démocratique depuis la chute du président Blaise Compaoré, chassé du pouvoir le 31 octobre par une insurrection populaire après 27 ans de règne. Cette transition, correspondant aux travaux champêtres, doit s'effacer après l'élection d'un nouvel exécutif. "Nous mettons un point d'honneur à réussir ces élections" car elles constituent "l'objectif final de la transition", dont 25, ection présidentielle et les législatives se tiendront simultanément le 11 octobre prochain au Burkina Faso, gouvernement et Commission électorale nationale indépendante (Ceni) avaient proposé deux dates pour la tenue concomitante des deux scrutins: le 20 septembre ou le 11 octobre. Le gouvernement a finalement décidé d'organiser "les élections couplées présidentielle et législatives le 11 octobre 2015", incarnée par le binôme Michel Kafando-Isaac Zida - un ancien diplomate devenu président intérimaire et un Premier ministre également lieutenant-colonel -, la date du 20 septembre, mettant un terme aux discussions sur le futur calendrier électoral burkinabè. Lundi, n'a pas été retenue parce que "c'est la période des pluies", partis politiques, que préférait la plupart des acteurs, qui s'exprimait en marge d'une rencontre avec les patrons des médias au palais présidentiel. Selon lui, sans jamais été appliquée. Le budget des élections présidentielle et législatives couplées a été fixé à 50

Dépécheg | 13/09/2013 | Afrique

dénoncent, FPR, intimidations, partis politiques, pouvoir, Rwanda

| 28/02/2012 | Scrutin présidentiel 2012

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