L’Association nationale des familles des victimes et rescapés du Joola (ANFVR/J) a adressé un message à l’actuel président de la République, Bassirou Diomaye Faye concernant la gestion du musée le Joola et souhaite l’ordonnance d’un audit. Dans leur déclaration préliminaire, devant la presse, ces membres exhortent « le président de la République Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement à saisir cette belle opportunité pour promouvoir dans le Mémorial-musée, l’insertion socioprofessionnelle des orphelins, des familles et des rescapés du Joola, diplômés et compétents ».
« Le Mémorial-musée Le Joola, symbole de tout l’espoir attendu par les familles depuis deux décennies, est devenu une réalité tangible. La sauvegarde de cette vocation mémorielle n’est pas en reste, pour la faire vivre de façon structurelle, contribuer à la lutte contre l’oubli, est une exigence de gestion inscrite dans le long terme. la gestion managériale du Mémorial-Musée doit revenir aux familles, du fait de leurs compétences, leurs expériences et vécus, couplés de leurs savoirs faire pour la sauvegarde de l’édifice et de la mémoire de 2000 victimes », notent les membres de ladite association.
Par ailleurs, l’ANFVR/J fustige avec la dernière énergie le fait qu’elle soit écartée volontairement par le ministère de la Culture lors de la passation de marché portant sur le choix de Eiffage. Les familles affirment ne rien savoir de la démarche et du contenu du contrat de Eiffage, tout comme celui de l’architecte et des marchés afférents, encore moins du coût du mémorial et des impenses.
Pour des raisons de transparence dans la gestion des deniers publics destinés au Mémorial-Musée «le Joola », les membres de l’ANFVR/J exigent de l’administratrice du mémorial, Sohkna Gaye, un bilan de la gestion de son budget à l’image de l’Office nationale des pupilles de la nation. Ils demandent à l’État d’auditer cette gestion «opaque ».
« Le Mémorial-musée Le Joola, symbole de tout l’espoir attendu par les familles depuis deux décennies, est devenu une réalité tangible. La sauvegarde de cette vocation mémorielle n’est pas en reste, pour la faire vivre de façon structurelle, contribuer à la lutte contre l’oubli, est une exigence de gestion inscrite dans le long terme. la gestion managériale du Mémorial-Musée doit revenir aux familles, du fait de leurs compétences, leurs expériences et vécus, couplés de leurs savoirs faire pour la sauvegarde de l’édifice et de la mémoire de 2000 victimes », notent les membres de ladite association.
Par ailleurs, l’ANFVR/J fustige avec la dernière énergie le fait qu’elle soit écartée volontairement par le ministère de la Culture lors de la passation de marché portant sur le choix de Eiffage. Les familles affirment ne rien savoir de la démarche et du contenu du contrat de Eiffage, tout comme celui de l’architecte et des marchés afférents, encore moins du coût du mémorial et des impenses.
Pour des raisons de transparence dans la gestion des deniers publics destinés au Mémorial-Musée «le Joola », les membres de l’ANFVR/J exigent de l’administratrice du mémorial, Sohkna Gaye, un bilan de la gestion de son budget à l’image de l’Office nationale des pupilles de la nation. Ils demandent à l’État d’auditer cette gestion «opaque ».
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