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Chronique
Il y a lieu de se demander si les correcteurs recrutés par nos organes de presse pour ``nettoyer`` les papiers des journalistes avant leur publication prennent leur travail au sérieux.
S`il est en effet rarissime de voir des fautes d`orthographe, de grammaire, de conjugaison ou simplement de compréhension dans des journaux ``Occidentaux`` comme le Monde, Jeune Afrique ou le Washington Post, les nôtres, en revanche, comportent fréquemment des fautes souvent graves qui, non seulement rendent les articles indigestes, mais finissent, en plus,par faire douter de la rigueur des correcteurs de presse.
S`agit il là d`une tare intrinsèque au sous - développement ? Sous - développement économique et sous - développement de l`expression seraient ils donc indissociablement liés ? Il est vrai que la langue de Molière n`est pas notre langue maternelle. Mais non seulement nous avons appris à la lire et à l`écrire depuis le bas âge, mais encore, avec l`expansion de l`internet, et son corollaire, la mondialisation des idées, programmes et techniques, il devient trèsaisé d`éviter de faire les fautes que nous retrouvons hélas, en pagaille, dans notre presse. Mesdames et Messieurs les correcteurs, un peu plus de vigilance que diable ! Vous pourrez ainsi nous éviter des fautes ci-dessous. WADE L`EVENTREUR ? Apres avoir lu une phrase de M. Pape SAMBARE NDOUR dans l`Observateur du jeudi 28 juin 2012 p.9, mon neveu de 12 ans m`a posé la question de savoir si l`ancien Président WADE est, lui aussi, un Jack l`Eventreur``. Question sensée puisque notre ami NDOUR, parlant de la fureur de WADE face aux audits et arrestations de ses anciens collaborateurs, a mis dans la bouche de l`ancien Président cette phrase énigmatique : `` Quelles que soient les tractations (des nouveaux tenants du pouvoir), nous les éventrerons à temps``. Pape SAMBARE n`est pas, du reste, le seul de nos vaillants journalistes à commettre cette grave confusion entre le verbe éventer et le verbe éventrer. Sachons définitivement que le verbe Eventer signifie :
MENOTTES AUX POINGS Dans le Populaire du jeudi 21 juin 2012, un article du journaliste Youssouf MINE est ainsi titré : ``Comment Me NGOM a été conduit au palais de justice menottes aux poings``. Le policier qui a ainsi menotté l`ancien Ministre de l`Intérieur, arrêté manu militari à Kolda, devrait tout simplement être radié pour incompétence. Car nul policier, si bête soit il, il n`est censé ignorer que ce sont les poignets qui doivent être menottés et non les poings ! Poursuivant son texte, Monsieur MINE (qui, soit dit en passant, est une véritable mine d`informations vérifiées j`espère !), écrit encore : `` Les services de renseignements ont été mis à profit …``. Et plus loin encore : ``Il faisait 08H15 quand les éléments ont fini de prendre position…``. D`abord, on ne met pas à profit des personnes ou des services. On les met à contribution. C`est plus propre et plus moral. Ensuite, si, en parlant du temps brut, naturel, il est pertinent d`utiliser le verbe faire (il fait beau, il fait chaud etc.), s`agissant du temps domestiqué, humanisé (l`heure), ce verbe n`est pas approprié. On dit donc : ``Il est midi`` et non ``Il fait midi``. COMPTES ET MECOMPTES DE L`ANOCI Monsieur Ibrahima DIALLO, dans un article pourtant intéressant relatif aux activités du Forum civil et paru dans Sud Quotidien du jeudi 21 juin 2012, a commis cette grave faute : `` En attendant une vaste campagne d`information, un film sur le mécontes de l`ANOCI a été projeté``. Le mot mécontesest une pure invention de notre cher journaliste. Il fallait plutôt écrire mécomptes autrement dit mauvais comptes, fautes (volontaires ou non) de calcul. Enfin, lors de l`interview que le nouveau Président de la République a accordée à la presse nationale (et RFI) à Ziguinchor, le talentueux Mamadou Ibra KANE de la RFM, évoquant l`incident survenu dans les relations entre le Sénégal et l`Iran, a parlé de `` cheveu sur la soupe`` alors qu`il fallait dire dans la soupe. Comme quoi nul n`est infaillible. L`essentiel d`être corrigé, car chaque erreur rectifiée est un pas vers la lumière. Bonne journée et à la prochaine. [mamadoumoustapha@gmail.com]mail:mamadoumoustapha@gmail.com Nombreux sont les sénégalais qui, actuellement, s`offusquent de la ``forte présence`` de l`ancien Président de la République Me Abdoulaye WADE sur le terrain politique, après sa cinglante défaite du 25 mars 2012. Ces compatriotes, surpris voire dégoûtés par ses attitudes persistantes d`opposant, lui demandent de faire comme ses prédécesseurs, les Présidents SENGHOR et DIOUF qui eurent l’élégance de s`effacer purement et simplement de la scène afin ne pas gêner leur successeur nouvellement installé.
En vertu du principe d`incompatibilité des paradigmes, lequel étant lui-même fondé sur le principe de particularité des situations, cette position ne me parait pas défendable tant du point de vue historique que du point de vue logique.
A la fin de la colonisation, le Président Senghor a hérité d`un parti politique qui lui a été offert sur un plateau d`argent et qu`il reçut comme une manne tombée du ciel. Et après avoir mis en prison ses principaux opposants sans coup férir et enivré le peuple des effluves d`une gestion poétique aux antipodes du pragmatisme de Mamadou DIA, il a recueilli un consensus national quasi universel et géré le Sénégal sans grands heurts jusqu` à satiété. Vingt ans après, (1960 – 1980), assouvi et surtout effrayé par l`avenir incertain qui se dessinait pour son pays, SENGHOR le Président - poète a décidé de rendre le tablier afin de se consacrer à son hobby de tous les jours : la littérature. Son successeur, le Président Abdou DIOUF qui reçut en cadeau, des mains de SENGHOR, le Parti Socialiste (PS) et l`Etat sans aucun effort, s`est littéralement contenté de se baisser pour ramasser ces deux instruments grâce auxquels il a régné à son tour sur le Sénégal pendant dix neuf ans (1981-2000). Le fait que le Président DIOUF ait été tout à fait étranger à la création, la maturation et au développement du PS, qui lui a pourtant tout donné, explique sans aucun doute l`inhumaine indifférence dont il a fait montre à l`égard de ce parti dès et après l`annonce de son échec à l`élection présidentielle de 2000. Depuis, ayant totalement rompu les amarres, il ne semble éprouver ni peine ni nostalgie aucune pour sa formation politique et pour ses camarades qui, il n`y a guère, étaient prêts a mourir pour lui. L`adage le dit bien : `` La poule ne lutte véritablement que pour sa progéniture !``. Le Président WADE quant à lui a, faut il le rappeler, enfanté le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) dans la douleur, la patience et le renoncement. Apres vingt six ans de travail opiniâtre et d`opposition républicaine souventes fois périlleuse, il a pu enfin faire accéder son parti au pouvoir en l`an 2000. Je considère que le sentiment d`attachement que l`être humain éprouve naturellement à l`égard de son œuvre, surtout si cette dernière a pu surgir de lutte épiques et de terribles risques encourus pour sa préservation, peut déjà servir d`explication valable à l`attitude de WADE qui poursuit encore inlassablement sa lutte pour l`immortalisation de son bébé, en l`occurrence le PDS. Car, il n`est un secret pour personne que, par sa création (artistique, charnelle ou politique), l`être humain cherche à accéder à l`immortalité. Et toute menace contre ce naturel dessein entraine de facto une farouche résistance. La mort du PDS ne serait elle pas d`ailleurs, symboliquement du moins, celle de l`homme Abdoulaye WADE ? Il me semble donc vain et surtout injuste de demander à l`ancien Président de la République de cesser ses activités politiques pour ``faire comme SENGHOR et DIOUF``. Son activisme post - pouvoir est en dernière instance et pour parler comme Schopenhauer, une lutte éperdue contre le sentiment du destin inexorable qui voue toutes choses à la finitude. Le Président Macky SALL lui même qui semble tenir à se maintenir à la tête de son jeune parti (APR), est habité, quoique de façon non encore ``obsessionnelle `` (compte tenu de son âge et de la récence de son magistère), par ce sentiment humain, trop humain! En un mot comme en mille, en tenant compte de sa trajectoire personnelle, il semble que le Président WADE demeurera encore longtemps sur la scène politique sans se faire enterrer de sitôt. A moins que le trépas, qui vient tout guérir, ne vienne en aide à son distingué successeur dissipant d`un coup l`ombre fantomatique du Vieux qui hante sans cesse son règne, et lui dégageant l`horizon pour un plein exercice de son magistère. Mamadou Moustapha SECK mamadoumoustapha@gmail.com
En circulant dans les rues de Dakar, l`on peut se rendre compte combien les piétons sénégalais se prennent pour des voitures. Oubliant complètement que, s`ils sont des corps automobiles, ils n`en sont pas moins des personnes (et non des voitures), ils marchent au milieu de la chaussée alors même qu`ils ont sous les yeux des trottoirs totalement vides.
L`observateur est ainsi effaré de voir qu` au niveau des carrefours et des places – rondes, les piétons se déplacent en côtoyant voitures, charrettes, moutons, vaches, motos et vélos dans un mouvement surréaliste, en contournant le périmètre du rond-point dans le strict respect des panneaux de signalisation qui donnent la priorité à droite. Et cela, sous le regard indiffèrent des agents affectés à la circulation ! Et gare si vous vous en offusquer auprès de ces insolites véhicules ! Ils vous répondront purement et simplement par la question de savoir si la rue appartient à votre père ou à votre grand-père ! Je n`arrive pas non plus à comprendre que les piétons traversent la VDN en ignorant royalement les passerelles construites à coup de millions qui leurs sont réservées. Là encore, sous les yeux de gendarmes débonnaires, occupés exclusivement à surveiller les voitures. Il faut que les agents de la circulation sachent définitivement qu`ils ne sont pas là uniquement pour les voitures et les chauffards, mais aussi pour les piétons qui sont passibles de contravention ! La VDN étant d`ailleurs, par définition, une voie rapide dotée de passerelles, il convient d`en ôter les ralentisseurs inutiles et autres passages cloutés qui contribuent à semer la confusion dans la circulation et dans l`esprit des gens. Que le piéton marche sur la chaussée lorsque, comme on le voit au Plateau, les trottoirs sont squattés par les `` ambulants`` (marchands, mendiants, prostituées déguisées, voleurs à la petite semaine etc.) et les voitures en mauvais stationnement, est tout à fait compréhensible. Et sur ce point, des missions courageuses, vigoureuses et permanentes de désencombrement des espaces réservés aux piétons doivent être menées dans l`urgence, sans état d`âme aucun, ni aucune appréhension d`ordre politique et/ou religieuse. Par contre, que les piétons, par inconscience ou par ignorance, envahissent la chaussée là où cela n`est pas nécessaire et déambulent à l`instar des fameuses vaches qui, depuis plusieurs années maintenant, circulent dans les avenues de notre belle capitale, pose également problème. Un tel comportement peut certes s`expliquer par l`habitude qu`ils ont contractée à force d`être privés du trottoir par les voitures et les ``ambulants``. Mais dans bien des cas, il s`explique par la persistance des ``Ruralités urbaines``, c`est à dire du transfert des comportements ruraux dans la ville. Chacun sait que dans les villages, il n`y a presque pas de voitures. La plupart de nos villageois peuvent rester plusieurs jours sans entendre le bruit d`un moteur, a fortiori apercevoir le museau d`un véhicule. La route leur appartient donc en tant que piétons. Venus à Dakar et y composant la majorité de la population, ils reproduisent les mêmes comportements qu`au village sans se rendre compte des changements intervenus dans leur nouvel environnement. C`est ainsi par exemple qu`ils élèvent moutons, des poules et des chèvres dans les appartements, pilent avec le mortier, parlent très fort, crachent et pissent à tout vent et traversent la chaussée en essayant de faire comme les voitures, ces signes de richesse qu`ils admirent béatement au point de ne pouvoir s`empêcher d` imiter leurs mouvements et de suivre leurs trajectoires. Ces comportements villageois en ville dégradent décidément le cadre de vie. Il convient de les étudier en profondeur, de mesurer leur impact dans notre sous développement afin de leur trouver une solution idoine. Ce serait là une œuvre de salubrité publique ! Dia SECK : mamadoumoustapha@gmail.com
Du fait de l’extrême diversité et de l`infinité des défis qu’ils sont censés relever, certains combats sont perdus d’avance. Il en est ainsi de celui que nous avons entamé en vue de l`éradication totale et définitive des fautes dans les écrits des journalistes. Nous menons cette lutte en sachant que, dans l`absolu, elle n`aboutira point. Nous nous y lançons tout de même en ayant en vue que chaque erreur débusquée et rectifiée est un pas vers la perfection. Ce pas effectué constitue sûrement un moment de joie pour quiconque est un tant soit peu soucieux du progrès de la presse dans le pays de SENGHOR et de Bachir DIAGNE, mais aussi de Cherif Evalide SEYE et de Moussa PAYE.
Poursuivons donc notre chasse aux fautes, ces véritables entraves à une saine et instructive lecture des journaux et ouvrons la page 2 du Quotidien du mercredi 21 juin 2012. 1) Comparer le comparable Dans billet (dont je douterais volontiers de la dignité théorique) intitulé ``Froid comme un Etat``, Monsieur (ou madame ? J`opte pour Monsieur !) Sucré –Salé, parlant du caractère impersonnel de l`Etat, a écrit ceci : «Et surtout que l`Etat est impersonnel et aussi froid qu’un cadavre dans un tiroir d’une morgue». Outre l`insuffisance syntaxique de cette phrase (une phrase ne commence pas par des expressions du genre `` Et surtout``), il convient de noter une insuffisance sémantique liée à la comparaison à laquelle notre ami Tout- Sucre - Tout - Sel se hasarde entre la froideur de l’Etat et celle d’un cadavre congelé. Comparaison d’autant plus malheureuse que, si la froideur d’un cadavre (qui plus est se trouve enfermé dans un congélateur !) renvoie à la fixité éternelle et, par conséquent, à l`incapacité définitive d’agir, la froideur de l’Etat, elle, signifie plutôt capacité de mensonge et de mouvement. Il s’agit ici d’un mensonge et d’un mouvement faits d`insensibilité et qui, dans leur sillage, portent l’Etat à tromper et à écraser l’individu sans état d’âme aucun. C’est le philosophe Nietzsche, suivi en cela par les anarchistes, qui a vulgarisé la conception de l’Etat - monstre – froid : «L'Etat, c'est le plus froid de tous les monstres froids. Il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : «Moi l'Etat, je suis le peuple» (CF. Ainsi parlait Zarathoustra). La froideur cadavérique se situant aux antipodes de la froideur étatique, Monsieur Sucre et Sel aurait mieux fait de trouver une comparaison plus heureuse pour parvenir à son objectif qui était simplement de montrer que les mêmes forces de l’ordre utilisées, il n’y a guère par l’ancien Ministre d’Etat Ousmane NGOM, pour réprimer les manifestations contre le régime de WADE, se sont aujourd’hui retournées contre lui. 2) La ponctuation tue Sans prétention aucune, je voudrais également conseiller à notre ami d’entrecouper ses idées de pauses, ou, plus simplement de mettre un point à la fin de l`exposé d’une idée et ensuite de commencer une nouvelle phrase. Cela repose le lecteur et rend le discours plus comestible. C’est parce qu’il n’a pas fait sienne cette préoccupation que notre cher Monsieur Sucré – Salé s’est lancé dans des phrases kilométriques (10 lignes !) qui ont rendu encore plus nébuleux son billet. La ponctuation constitue d’ailleurs l’un des plus grands problèmes rencontrés par nos journalistes dans leur exercice d’écriture. Ceux qui la négligent gagneraient à savoir qu’une erreur de ponctuation peut être mortelle ! J`ai encore en mémoire l’histoire de ce Roi de France qui, souhaitant au dernier moment épargner un prisonnier sur le point d’être décapité, donna l’ordre à son coursier de se rendre de toute urgence auprès du bourreau afin de lui remettre un papier sur lequel il avait, à la hâte et sans souci de la ponctuation, écrit l`ordre suivant : «tuez pas gracié !» Chemin faisant, le coursier, qui détestait le prisonnier et voulait sa mort, lut l’ordre du Roi. Il sortit alors sa plume et son encre et, d’une simple ponctuation, scella définitivement le sort de ce dernier. Car, voici le texte que le bourreau, impatient d’accomplir sa basse œuvre put lire : «tuez ! pas gracié !» A bon entendeur, salut ! La suite prochainement.
Le scandale des jeunes lesbiennes qui fait la Une de la presse relance une fois de plus le débat sur la dégradation de nos valeurs. Quand un problème se pose, les causes expliquées montrent facilement la voie à prendre pour trouver les solutions. De simples citoyens et des sociologues ont donné les raisons de cet effondrement de notre société : la démission des parents, les conséquences des technologies de l’information et de la communication, le mimétisme envers la culture occidentale. De ce point de vue, on remarque que la préoccupation se limite aux jeunes et c’est vraiment suffisant comme chantier pour remettre notre société sur le droit chemin. La famille doit reprendre le dessus sur l’enfant. Les difficultés de la vie ne sont pas des justifications pour fuir ses responsabilités. Les technologies de l’information et de la communication pour ne pas dire Internet de même que l’influence de l’Occident ne représentent rien devant une jeunesse éveillée et consciente de ses droits et devoirs. Il s’agit plutôt de venir au secours de la famille, cellule de base de la société, en donnant à l’école son véritable rôle d’éducation au civisme et de faire de notre culture un moyen de socialisation et non la base de tout ce qu’on voit de nos jours : des êtres stupides et bornés !
« L’électorat de ce pays a montré qu’il avait aussi la fibre morale », écrivait un confrère, le président de la République reconnaissait récemment lui-même, « l’émergence d’une nouvelle citoyenneté », seulement sa rigueur et ses mesures de redressement ne sont pas pour le moment orientées vers la consolidation de ces acquis qui ne doivent pas être lus seulement sous l’angle politique. Cour de répression de l’enrichissement illicite, Commission de restitution et de recouvrement des biens mal acquis, Office national anti-corruption, tout cela pour la transparence dans la gestion des affaires publiques. C’est bien mais le même engagement doit-être noté pour une société harmonieuse, équilibrée, des jeunes dignes et éloignés de ces comportements contre nature sous nos cieux. « Je me demande où était son oncle au moment d’éduquer Ndiaga DIOUF », s’interroge Jean-Paul DIAS répondant à l’oncle du nervi tué devant la mairie de Mermoz Sacré-Cœur. La question est pertinente. Nous posons la même question à nos dirigeants en premier le chef de l’Etat, ses conseillers, d’autres députés et sénateurs d’aujourd’hui et de demain, où sont-ils au moment où la société ne marche plus sur ses deux pieds, un pied nature distinct de son pied culture. Monsieur le président, vous êtes le premier chef de la Brigade des mœurs ! |
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